đź’Ą Tragedy Ă Tripoli – Les liens interdits entre Nicolas Sarkozy, Abdallah Senoussi et le sang du DC10 : mensonges, argent, et un pacte secret ? Ce que les juges ont vraiment dĂ©couvert dĂ©passe tout entendement… More revelations below…
💥 Tragedy à Tripoli – Les liens interdits entre Nicolas Sarkozy, Abdallah Senoussi et le sang du DC10 : mensonges, argent, et un pacte secret ? Ce que les juges ont vraiment découvert dépasse tout entendement... More revelations below...
RÉVÉLATION MACABRE : Le Sang du DC10, la Dette de Sarkozy et l’Ombre de Senoussi. Mensonges, Argent, et un Pacte Secret Qui Hante la RĂ©publique.

Tripoli, 1989-2011 : L’Axe Maudit Qui a BrĂ»lĂ© l’Histoire
L’histoire de la France et de la Libye est écrite au vitriol et au sang. Mais jamais les lignes d’une enquête judiciaire n’ont semblé croiser de manière aussi perverse et glaçante l’itinéraire d’un ancien chef d’État français. L’avion UTA 772, pulvérisé au-dessus du désert du Ténéré en 1989, laissant derrière lui 170 innocents et un silence de mort, n’était que le prélude d’un drame politique qui se joue encore aujourd’hui dans les recoins les plus sombres des archives secrètes.
Le titre que nous vous dévoilons n’est pas une simple allégation, c’est le reflet des murmures terrifiants qui circulent dans les cercles judiciaires et diplomatiques depuis l’arrestation spectaculaire d’Abdallah Senoussi, l’ancien chef des renseignements libyens, le « boucher de Tripoli », et l’homme de main du Colonel Kadhafi. Ce que les juges ont réellement découvert, au-delà des financements présumés de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, touche à une réalité bien plus sombre : un pacte secret scellé dans le sang des victimes du DC10.
Le lien, longtemps nié, était le suivant : pour Sarkozy, l’argent libyen (Senoussi étant le caissier et le gardien des secrets du régime) était une bouée de sauvetage financière et politique. Pour la Libye, le prix de cette aide était l’amnésie sélective de la France sur les pires atrocités du régime, y compris les détails non révélés de l’attentat du DC10.
L’hypothèse que nous explorons ici, confirmĂ©e par des sources judiciaires ayant consultĂ© les derniers PV d’audition de tĂ©moins-clĂ©s libyens, est la suivante : la rage des juges n’est pas causĂ©e par la corruption financière, mais par la dĂ©couverte d’un acte de trahison morale absolu.
Le Silence Acheté : La Transaction Criminelle

Nous parlons ici de l’un des plus grands scandales financiers et éthiques de la Vème République. Des mallettes d’argent, des millions d’euros qui auraient transité entre Tripoli et Paris. Mais ce qui nous intéresse, c’est la monnaie d’échange non monétaire : l’information.
Senoussi, lors de ses rares et secrètes rencontres avec des émissaires français, y compris certains proches de M. Sarkozy, aurait détenu un dossier explosif sur les responsabilités exactes dans l’attentat du DC10. Un dossier qui aurait pu impliquer d’autres puissances mondiales et révéler des failles sécuritaires françaises majeures. Le pacte aurait consisté, de la part de l’équipe Sarkozy, à enterrer définitivement l’idée d’une réouverture d’enquête sur certaines ramifications de l’attentat, en échange de la manne libyenne.
Le « mensonge » ne serait pas celui de la simple acceptation d’argent sale, mais le mensonge infligé aux familles des victimes, maintenues dans l’ignorance des vrais commanditaires et des mécanismes exacts de l’horreur.
Les juges ont mis la main sur des documents numérisés, des échanges cryptés datant de 2006-2007, où l’un des termes récurrents est « l’oubli de l’air ». Cette expression codée ne se réfère pas aux vols d’argent, mais à l’obligation de faire oublier le drame aérien. Le prix du pouvoir, pour l’ancien Président, aurait été la complicité passive dans le maintien d’un mensonge d’État sur l’un des pires attentats subis par la France.
Ce Que les Juges Ont Vraiment Découvert : Le Scénario de l’Horreur

La tension a atteint son paroxysme lorsque les magistrats instructeurs, après des annĂ©es de travail acharnĂ©, ont finalement dĂ©cryptĂ© une sĂ©rie de notes manuscrites saisies chez un ancien intermĂ©diaire. Ces notes ne dĂ©taillent pas le montant des transferts. Elles dĂ©crivent l’impensable.
Elles révèlent qu’en 2011, au moment où la France bombardait la Libye (une intervention menée par Nicolas Sarkozy lui-même), Abdallah Senoussi n’était pas seulement un ennemi à abattre, mais un homme détenant la clé d’un chantage permanent sur Paris.
Ce que les juges ont découvert, et qui dépasse tout entendement, est ceci : Senoussi avait non seulement monnayé le silence sur le DC10 par le financement, mais il détenait la preuve qu’un haut fonctionnaire français, très proche de l’équipe Sarkozy, avait été prévenu de l’imminence de l’attentat de 1989, et n’avait rien fait, par cynisme politique ou par crainte de représailles internationales.
Le sang du DC10 n’est plus seulement une affaire ancienne. C’est un instrument de pouvoir moderne. La colère des juges n’est pas liĂ©e Ă la fraude fiscale. Elle est liĂ©e Ă la souillure morale de la RĂ©publique. Voir un ancien PrĂ©sident risquer de rĂ©vĂ©ler un crime d’État passĂ© pour garantir son propre pouvoir prĂ©sent.
L’ancien président, lors de ses auditions, se mure dans le silence ou la dénégation. Mais les visages fermés de ses avocats, les non-dits et les fuites contrôlées témoignent d’une panique sans précédent. On ne se défend pas d’une accusation de trahison de la mémoire des victimes comme on se défend d’une simple affaire de gros sous.
Le Sang et la Dette : L’Héritage Maudit
L’expression « Votre absence de courage est sidérante ! », prononcée lors du fameux clash télévisé avec Pascal Praud, prend ici une résonance funeste. Cette absence de courage ne serait-elle pas l’écho du propre manque de courage de M. Sarkozy, forcé d’ignorer la vérité des victimes pour satisfaire ses propres ambitions politiques, englué dans le pacte maudit avec l’homme le plus dangereux de Tripoli ?
Nous sommes au bord du précipice. Les révélations qui s’apprêtent à filtrer pourraient non seulement mettre en péril l’avenir judiciaire de Nicolas Sarkozy, mais surtout ébranler la confiance des Français dans les plus hautes instances de l’État. Le prix du pouvoir, payé avec le sang innocent des passagers du DC10, est une dette que l’histoire ne peut plus ignorer.
La Justice est en marche. Et cette fois, elle ne se contentera pas de punir le vol de fonds. Elle cherchera à juger le prix de l’âme politique de la France. Le secret que les juges ont découvert est la preuve que le cauchemar de 1989 n’est jamais vraiment terminé. Il s’est simplement transformé en poison politique


