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À l’âge de 60 ans, Pascal Obispo brise enfin le silence sur Laeticia Hallyday …

 

Ah oui oui, je suis en pleine forme. Ben je je fais du sport. Donc voilà. Mesdames, messieurs, quand un ami d’autrefois prononce le mot pseudo compagne pour parler de la veuve du rockur le plus aimé de France, c’est que quelque chose s’est brisé. Pascal Obispo, compositeur des plus grands succès de Johnny Aliday, a choisi de parler.

 Pendant des années, il s’était tu. Loyal, discret, respectueux du mythe. Mais en 2025, il accuse publiquement Latitia Lidé de l’avoir rayé de la carte, de l’avoir exclu de la vie de Johnny alors même qu’il continuait à l’aimer comme un frère. Ces mots froids et précis réveillent les blessures d’un clan toujours déchiré entre l’amour, la gloire et l’héritage.

Et soudain, derrière les lumières du roc se dessine une vérité plus amer, celle d’un artiste qui se sent trahi par ceux qui ont réécrit l’histoire. Pascal Michel Obispo né le 8 janvier 1965 à Bergerac en Dordogne. Son père Max Obispo, footballeur professionnel d’origine basque, évoluait au sein des Girondins de Bordeaux.

 Sa mère, Nicole Guérin, était originaire d’Anger. Lorsque ses parents se séparent en 1978, Pascal quitte le Sud-Ouest pour s’installer avec sa mère à Renne. Un déménagement décisif. C’est là qu’il découvre la scène New Wave et Punk Brotton. l’énergie de groupe comme Marquy de Sad ou The Cure. Très tôt, il comprend que la musique sera sa respiration.

 Après un court passage à la faculté, il rejoint plusieurs formations locales avant de fonder au début des années 1980 le groupe Senso. Ce premier essai reste confidentiel mais le jeune Obispo forge déjà un style mêlant pop mélodique et intensité dramatique. Dans les années 1990, tout s’accélère. L’album Plus que tout au monde 1992 le propulse dans la lumière.

 Sa voix raillée, ses mélodies habitées, son sens du texte séduisent un public avide de sincérité. Lucy, tombé pour elle, fan, deviennent des hymnes générationnels. Obispo n’est pas seulement chanteur, il est aussi un artisan de l’émotion, un orfèvre du son qui compose pour les autres. Très vite, il se rapproche de Florent Panier, Patricia Cass, Zazi, Natacha Saint-Pierre, Jennifer ou encore Caloggero.

 Son empreinte musicale devient incontournable. C’est à la même époque qu’il croise Johnny Hiday. Entre eux, le respect et média. Johnny, toujours à la recherche d’auteur capable de renouveler son univers, reconnaît dans Pascal un passionné authentique, un homme sans calcul. Ensemble, il crée l’un des albums marquants de la fin des années 1990, Ce que je sais 1998.

Obispo, y signe plusieurs titres puissants dont la chanson éponyme qui mêle spiritualité et introspection. Leurs sessions d’enregistrement sont intenses, parfois tendues. Obispo le racontera plus tard. Le premier jour, il me testait, il me mettait sous pression. Johnny lui tranche “Laisse-les dehors.” Une phrase qui restera dans la mémoire du compositeur, symbole d’une confiance rare.

 Durant cette période, Pascal devient plus qu’un collaborateur, un ami. Il participe à plusieurs concerts. Suit Johnny en tourné, partage des moments d’intimité artistique et humains. Leur relation repose sur un lien franc, presque filial. Johnny admire l’exigence et la pudeur d’Obispo. Pascal voit en lui le dernier géant d’un certain rock français.

Lorsque Johnny chante “Allumer le feu, Obispo y entend un cri universel une fois dans la scène, dans la vie.” Mais avec les années 2000, les sphères d’influence autour de Johnny se resserrent. Latitia entre dans sa vie et prend une place centrale à la fois affective et logistique. Obispo, absorbé par ses propres tournées et projets, s’éloigne petit à petit sans que la rupture ne soit jamais formalisée jusqu’au jour où il comprend qu’il n’est plus invité, plus consulté, plus mentionné. Ce silence devient pour lui

une blessure, un signe de mise à l’écart. Pourtant, sa carrière continue d’exploser. Milésimes, les fleurs du bien, billets de femme confirment son statut de pilier de la chanson française. En parallèle, il s’engage dans des causes humanitaires, notamment avec les Enfleurés, mouvement initié par Coluche.

 Il y devient l’un des piliers fédérant les artistes autour d’une mission commune. Son image d’homme de cœur contraste avec les polémiques qu’il refuse souvent de commenter jusqu’à cette année 2025 où il décide de briser le silence sur le couple Haliday. Son parcours jalonné de succès et d’amitiés artistiques révèle un homme d’une loyauté rare, parfois trop entière pour le monde du showbsiness.

 Obispo, c’est la fidélité d’un musicien qui croit au lien vrai et qui, face à l’injustice perçue, finit par dire tout haut ce que d’autres murmurent encore, que derrière les icônes se cachent des solitudes et parfois des trahisons. Lorsque Pascal Obispo évoque pour la première fois son exclusion du cercle Haliday, le ton n’a rien de rancunier, mais il y a dans sa voix une amertume contenue.

 Il confie que tout a commencé vers la fin des années 2000 alors que Johnny s’apprêtait à repartir en tournée mondiale. L’équipe autour du chanteur s’était recomposé. Nouveau conseillers, nouveaux producteurs et surtout une nouvelle hiérarchie où Latitia Alidet occupait désormais une place dominante. Obispo, fidèle à son franc parler aurait dérangé cet équilibre.

 “Je n’acceptais pas les mensonges”, dira-t-il plus tard dans une interview. Derrière cette phrase se cache une guerre silencieuse entre loyauté et influence, entre la vérité artistique et le contrôle personnel. Dans l’univers feutré du show business, rares sont ceux qui osent parler de Latitia sans précaution. Pascal lui choisit les mou les plus tranchants.

 Il la qualifie de pseudo compagne sous-entendant que son pouvoir sur Johnny dépassait celui d’une simple épouse. Cette déclaration reprise par Ya Style et Chartine France en juin 2025 a l’effet d’une déflagration. Certains admirateurs critent à la diffamation. D’autres saluent enfin la franchise d’un homme resté trop longtemps dans l’ombre d’un myth.

 Les réseaux sociaux s’enflamment. Team Obispo contre team Latitia. Mais avant d’en arriver là, il faut revenir à l’origine du malaise. Pendant la préparation de l’album Ce que je sais, les tension avaient déjà émergé. Obispo racontait le premier jour, on m’a testé, on me mettait sous pression. Johnny seul m’a dit “Laisse-les dehors.

” C’est eux désignait les proches, les conseillers, parfois même la garde rapprochée de Latitia. Johnny semblait lucide sur la présence d’un cercle protecteur devenu étouffant. Obispo, en témoin privilégié a senti cette dérive. Dans une autre interview, il ajoute “On devait choisir son camp, moi, j’ai toujours été pour David.

” Dans une phrase, tout est dit. Il ne se rangait pas du côté de l’influence conjugale, mais du côté du fils légitime de la transmission musicale. Lorsque Johnny meurt en décembre 2017, la fracture devient publique. Le pays entier découvre la bataille d’héritage entre Latitia et les enfants Halidés. Obispo, resté discret, ne prend pas la parole à ce moment-là, mais en coulisse, il aurait confié à des proches son incompréhension devant certaines décision prise après la mort du chanteur.

 L’album postume, les hommages télévisés, les choix de production, tout semblait passer par un filtre nouveau où l’émotion authentique laissait place à la communication millimétrée. En 2025, alors que les querelles judiciaires s’apaisent à peine, Obispo se décide à parler. Dans l’émission décibel, il déclare : “J’ai été totalement écarté, non pas par Johnny, mais par l’entourage proche.

 J’ai été rayé de la carte comme ça de son vivant.” Cette phrase prononciée sans haine raisonne comme une confession tardive. Elle dévoile un système que beaucoup soupçonnaient, celui d’un contrôle étroit autour d’une légende. Les médias s’emparent de l’affaire. Gala voici Closer et même le parisien relais ses propos. Certains commentateurs rappellent que d’autres proches de Johnny, musicien, techniciens, amis de longue date, avaient également ressenti cette mise à distance progressive.

 Le chanteur Yarold Poupo ou le producteur Philippe Labrot avait eux aussi évoqué la difficulté d’accéder à Johnny dans les dernières années. Le récit d’Obispo semble alors s’inscrire dans une logique plus vaste, celle d’un entourage transformant l’artiste en icône intoable. Mais cette prise de parole n’est pas sans risque. Dans les jours qui suivent, des proches de Latitia répliquent discrètement, rappelant que Pascal Obispo n’a jamais été banni, simplement moins présent.

L’un d’eux glisse au Figaro. Pascal est un homme sensible mais il n’a pas vécu le quotidien du couple. Une manière de minimiser ses accusations sans les contredire. Ce que cette controverse révèle surtout, c’est la solitude des grands artistes. Johnny, entre l’amour, la maladie et les tournées, avait besoin d’être entouré, mais autour de lui, les ambitions et les fidélités s’entrechoquaient.

 Pascal, lui, incarne l’ami fidèle devenu témoin impuissant. Il n’a jamais voulu salir la mémoire de son ami, mais simplement rappelé que au cœur de la légende, un homme existait et que cet homme avait aussi besoin d’authenticité. À la fin de son entretien, il confie sobrement : “J’aimais Johnny”. J’aurais juste voulu qu’il sache que je ne l’avais jamais trahi.

 Une phrase simple, presque tremblante, qui clos 10x ans de silence. Le reste désormais appartient à la mémoire collective, celle d’un artiste blessé mais debout décidé à ne plus se taire. Quand il parle de patrimoine, Pascal Obispou ne pense pas seulement à l’argent. Pour lui, l’héritage est avant tout musical.

 Son travail avec Johnny Alidé laissé une empreinte indélébile faite de chansons, de souvenirs, d’émotions partagées. Pourtant, au moment où les héritiers de Johnny se déchirent devant les tribunaux, il observe à distance un univers qu’il a contribué à bâtir s’effriter sous le poids des intérêts financiers. Le patrimoine à l’idée estimé à plusieurs dizaines de millions d’euros devient un champ de bataille juridique entre Latitia et les enfants du chanteur, David Alidé et Laura SM.

Obispo, lui se tient en retrait mais ne cache pas son malaise. Tout ce que Johnny a laissé, c’est plus grand que nous tous, dit-il dans une interview. Il n’a jamais revendiqué la moindre part matérielle dans cet héritage, mais son rôle de créateur, de confident et de témoins reste symboliquement immense. Ses compositions pour Johnny, notamment ce que je sais et Allumer le feu, continuent de rapporter des droits d’auteur à travers la SASSEM.

 Une part de ces revenus minimes comparé à l’immensité du catalogue à l’idée représente pour Obispo une reconnaissance d’auteur, non un gain personnel. Mais ce qui le blesse, c’est de constater que son nom est parfois effacé des rétrospectives officielles, comme si son passage dans la vie de Johnny devait être minimisé.

 Dans les documentaires récents produits par Latitia Alidet, peu d’images ou de témoignages rappellent l’implication de Pascal. Les séquences sur la création de ce que je sais sont souvent réduites à quelques secondes. Pour un artiste habitué à célébrer la mémoire et la fidélité, cette omission a la force d’une gifle.

 C’est ce sentiment d’injustice mémorielle qui le pousse en 2025 à reprendre la parole pour rappeler qu’il fut un temps au cœur même du feu sacré. Le patrimoine alet, au-delà des chiffres, pose une question morale. Qui a le droit de raconter l’histoire ? Latitia, légata universel selon le testament rédigé à Los Angeles, s’est retrouvé face à deux enfants issus du premier mariage du chanteur qui dénonçait une manœuvre d’influence.

 Les tribunaux français, après des années de procédure, ont fini par valider un compromis. David et Laura récupèrent une partie des biens tandis que Latitia conserve la majeure portion, notamment les droits d’explocation de l’image et les propriété emblématique à Marne la coquette et à Los Angeles. Pour Pascal Obispo, ce combat familial illustre le pire de ce que la gloire peut engendrer, la fragmentation d’un mythe.

 En observant cette guerre d’héritiers, il confie dans décibel “J’ai vu trop de talents gâchés par les conflits d’argent. Johnny n’aurait pas voulu ça. Il évoque aussi le rôle de la musique comme réconciliation possible, un patrimoine artistique collectif que personne ne devrait s’approprier. À ses yeux, les chansons de Johnny appartiennent d’abord au public puis à ceux qui l’ont aimé sans calcul.

 Quant à lui, sa propre fortune reste discrète. On estime qu’après trois décennies de carrière, ses actifs maison à Arc à Champ et Paris, société d’édition musicales, catalogue de chansons atteignent plusieurs millions d’euros. Mais ils n’en parlent jamais publiquement. Son véritable héritage, dit-il, c’est d’avoir offert aux autres des mots et des mélodies qui survivront.

Aujourd’hui, Obispo produit de jeunes talents, compose pour le cinéma et continue d’écrire sur la fidélité, la mémoire, la perte. Chaque chanson semble une manière de reconquérir un peu de cette vérité qu’il estime avoir été trahi. Là où d’autres accumulent des biens, lui reconstruit un patrimoine invisible, celui de la sincérité.

 Et dans cette quête silencieuse, il se rapproche peut-être enfin de ce qu’il avait perdu. la paix avec lui-même et avec l’histoire de Johnny. Lorsque Pascal Obispo prononce enfin ses mots contre Latitia Alidet, c’est au détour d’une émission consacrée à la mémoire du rock français. Nous sommes en juin 2025. Les caméras de décibel tournent et tout semble anodin.

 Mais soudain, dans le silence du plateau, il lâche la phrase qui fera trembler la presse people. J’ai été totalement écarté, non pas par Johnny, mais par son entourage proche. Le public comprend immédiatement. Il parle de Latitia. Son ton reste calme, presque triste. Ce n’est pas un règlement de compte mais un cri retenu depuis 8 ans.

Dans les jours suivants, la machine médiatique s’emballe. Les radios rela ses propos les sites titre Obispo Etri Latitia, la pseudocompagne dans la tourmente. Obispo refuse d’ajouter le moindre mot, laissant à ses interviews passer le soin de tout dire. Dans l’une d’elles, il évoque le souvenir de Johnny un soir d’enregistrement.

 On travaillait jusqu’à l’aube. Il riait. Il me disait “Tu m’as redonné envie de chanter.” Cette phrase revient comme un écho douloureux rappelant l’amitié perdue. Pendant ce temps, à Los Angeles, Latitia se tait. Aucune déclaration officielle, mais selon Gala, son entourage juge les propos d’Obispo injustes et déplacés. Dans la sphère, certains proches de David et Laura saluent au contraire le courage d’un homme qui dit tout haut ce que beaucoup pensent.

L’affaire dépasse la simple nostalgie. Elle devient symbole d’un affrontement entre deux visions du souvenir. Un soir, sur la scène d’un concert caritatif, Pascal chante Ce que je sais. À la fin du morceau, il ferme les yeux et murmure pour toi, mon frère. Le public comprend sans qu’il ait besoin de nommer Johnny.

 C’est son adieu, sa réconciliation intime. Il ne cherche plus à convaincre. Il sait que dans la mémoire du public, la vérité finit toujours par remonter à la surface. Sous les projecteurs, son visage reste impassible, mais sa voix tremble. Et dans ce tremblement, tout est dit. La douleur d’avoir été effacé, le besoin de vérité et l’amour intact pour celui qui l’appelle encore mon frère du feu.

Aujourd’hui, Pascal Obispo ne cherche plus à rejouer le passé. Ces mots ont libéré ce qu’il portait depuis trop longtemps. Dans une France encore marquée par la légende Aliday, son témoignage rappelle que derrière chaque idole se cache des blessures humaines, des loyautés rompues, des vérités étouffées.

 Il poursuit sa route fidèle à son exigence artistique, loin des querelles médiatiques. Ces chansons continuent de raisonner dans les stades, les radios, les mémoires. Quant à Latitia, elle garde le silence. consciente que répondre ne ferait que rallumer la tempête. Le temps désormais joue son rôle. Il polie les souvenirs, efface les rancunes les plus tranchantes.

 Mais la phrase d’Obispo demeure suspendue comme une note tenue trop longtemps. J’ai été rayé de la carte. Dans ce constat simple réside toute la douleur d’une amitié perdue. Et peut-être, chers téléspectateurs, que l’histoire de Pascal Obispo et Johnny Alid n’est pas seulement celle d’une trahison, mais aussi d’une fidélité qui résiste à tout.

 une fidélité que ni la mort, ni le silence, ni les mots blessants ne pourront jamais tout à fait effacer.

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