À 81 Ans, Mick Jagger Fait Des Révélations Sur Sa Vie Que Personne N’Attendait
Peu de figures du rock ont incarné autant de démesures et de mystères que Mickj Jagger. En plus de 60 ans de carrière, il a marqué la planète entière avec son charisme, ses performances énergiques et ses choix souvent déroutants. Derrière le masque de la star mondiale, un homme complexe s’est toujours caché.
Si ce n’est pas encore fait, pensez à vous abonner pour ne rien manquer des prochaines histoires fascinantes. Né juillet 1943 à Dartford, une petite ville du Kent en Angleterre, Michael Philip Jagger a grandi dans un contexte particulier. La seconde guerre mondiale battait encore son plein et l’incertitude régnait sur tout le pays.
Son père, Basil Jagger, professeur d’éducation physique, était connu pour son sérieux et sa rigueur, notamment pour avoir introduit le basketball dans les écoles britanniques. Sa mère Eva Marie, originaire d’Australie, apportait une énergie différente, animée par une passion pour la politique conservatrice et un fort tempérament.
Cette double influence entre rigueur paternelle et audace maternelle façonna la personnalité de Mig dès son enfance. Dès son plus jeune âge, Jager se passionna pour la musique. Il rejoignit la chorale de l’église locale par simple amour du champ et non par obligation religieuse. La maison familiale vibrait au son des radios anglaises et luxembourgeoises offrant un mélange entre musique classique, pop britannique et surtout blues américain.
Jager écoutait tout avec attention, étudiant les sons, les voix, les rythmes. Chaque nouvelle chanson alimentait un rêve qu’il n’osait pas encore formuler. C’est à l’école primaire de Wentworth qu’il fit une rencontre décisive, Keis Richard. Le lien fut immédiat entre ces deux garçons curieux et passionnés par la musique. Ensemble, il partageaient des moments simples à discuter des artistes qui les faisaient vibrer.
Mais à l’âge de 11 ans, Mick quitta d’artford pour Wilmton, s’éloignant temporairement de son ami Case et se concentrant sur ses études. Brillant élève, Jager poursuivit une scolarité exemplaire décrochant de brillants résultats au Dartford Grammar School. Pourtant, en parallèle, sa passion pour la musique grandissait en silence.
Avec ses camarades, il forma un petit groupe amateur qui reprenait des classiques du blues, fasciné par des artistes comme Myudy Water et Chuckberry. Ce groupe local servit de laboratoire amique pour développer son style et nourrir son ambition. Le destin frappa à nouveau le 17 octobre 1961. Ce jour-là, Mick croisa par hasard Kais Richard sur le quai d’une gare.
Trois années s’étaient écoulées depuis leur dernière rencontre, mais leur complicité reprit immédiatement, alimenté par leur passion commune. Mick tenait sous le bras des disques de blouses précieux et ce simple détail suffit à rallumer la flamme de leur amitié. Rapidement, ils reformèrent un groupe baptisé Blues Boys accompagné de Dick Taylor, Alan Etrington et Bob Bequit.
Il jouait sans relâche, enchaînant répétition et petits concerts, rêvant de faire revivre le son authentique du blues de Chicago. Pendant ce temps, Mick poursuivait ses études supérieures à la London School of Economics, envisageant même un temps une carrière dans le journalisme ou la politique.
Pourtant, la musique prenait de plus en plus de place dans sa vie. En 1962, le groupe évolua et fut rejoint par Brian Jones et Yan Stuart. L’ambition s’intensifia et le nom du groupe changea pour devenir The Rolling Stones en hommage à une chanson de Mudy Water. Leur premier concert officiel eut lieu en juillet 1962 au Marquet Club de Londres, marquant les débuts d’un phénomène qui allait transformer l’histoire de la musique.
Dès l’année suivante, leur réputation grandit rapidement. Leur style brut influencé par le blues américain contrastait avec les groupes plus policés de l’époque. Un jeune manager du nom d’Androu Goldam prit le contrôle de leur image choisissant de faire des Stones les mauvais garçons du rock en opposition directe au Beatles.
Plus sage et propre sur eux. Sous la houlette Dam, Mick Jagger et Case Richard commencèrent à écrire leur propre chanson. Une décision qui changea radicalement leur trajectoire. Leur premier grand succès get nos satisfaction sortit en 1965 et devint un hyne générationnel. La voix de Jagger combiné à ses mouvements de scène électrisant et à l’énergie brute du groupe fit des Rolling Stones un symbole de rébellion et de liberté.
La célébrité leur apporta la gloire mais aussi son lot de controverse. Accusé de comportement scandaleux, les membres du groupe furent fréquemment ciblés par les médias. En 1967, Jager et Richard furent arrêtés pour possession de drogue après une descente policière très médiatisée. Leur procès fit grand bruit et divisa l’opinion publique.
Finalement, ils furent libérés après un appel, mais leur réputation de rockur incontrôlable était désormais solidement ancrée. Les tragédies s’enchaînèrent rapidement. En 1969, Brian Jones, l’un des membres fondateurs, fut retrouvé mort dans sa piscine à seulement 27 ans. Moins d’un mois plus tard, les Stones donnèrent un concert en hommage à Park devant des centaines de milliers de personnes.
Jager, vêtu de blanc, lu un poème avant de lancer le concert, marquant un moment intense d’émotion collective. Cette même année, lors du tristement célèbre concert d’Altamont en Californie, un drame éclata au sein du public. Engagé pour assurer la sécurité, les Angels semèrent le chaos, causant la mort d’un jeune homme sous les yeux impuissants du groupe.
Cet événement marqua un tournant sombre dans leur histoire, rappelant que derrière l’énergie de leur concert, le danger n’était jamais bien loin. Pourtant, malgré ces drames, les Rolling Stones poursuivirent leur ascension dans les années 1970, enchaînant des albums devenus cultes comme Sticky Finger et Exil en main street. Jager avec son charisme indéniable s’imposa comme le visage incontournable du groupe cumulant les succès musicaux et les aventures personnel souvent tumultueuse.
Alors que les années 1970 battaient leurs pleins, les Rolling Stones s’imposèrent comme l’un des groupes les plus emblématiques de la planète. Mais au-delà de la musique, la vie de Mick Jagger pris une tournure encore plus mouvementée. Les succès discographiques s’enchaînaient avec des albums comme some Girls et go Soupe, mais l’équilibre personnel du chanteur devenait de plus en plus instable.
Jager multipliait les aventures sentimentales et les liaisons sulfureuses. Après une période intense avec Marianne Foule, il se retrouva embarqué dans une relation discrète avec Marchapte qui lui donna sa première fille, Carry, en 1970. Le public ne découvrit cette paternité que bien plus tard tant la vie privée du chanteur était dissimulée derrière le tumulte médiatique.
En 1971, il épousa la somptueuse Bianca Perez Mora Masias au cours d’une cérémonie ultra médiatisée à Saint- Tropé. Ensemble, ils eurent un fils, Jade. Pourtant, ce mariage présenté comme glamour ne survécut pas aux pression de la célébrité. Entre tournée interminable et infidélité récurrente, leur relation se détériora rapidement.
Bianca finit par demander le divorce en 1978, mettant en avant les multiples trahisons de Mic. Malgré les ruptures et les remous personnels, Jagger continua d’enchaîner les tubes avec les Stones. Sa réputation de Schoman ne fit que grandir, électrisant les foules par ses performances scéniques d’une intensité rare.
Mais l’image publique de la Rockstar masquait des conflits internes de plus en plus pesants au sein du groupe, notamment avec Ke Richard. Les tensions explosèrent durant les années 1980. Alors que l’univers musical évoluait avec l’avènement de MTV et de nouveaux styles, Jager se montra plus ouvert à la modernité et à l’expérimentation.
Tandis que Richard restait profondément attaché aux racines blues du groupe, cette divergence artistique se transforma en véritable fracture. Jager lança sa carrière solo en 1985 avec Sheis the Boss, puis poursuivit avec Primitive Cool, laissant Richard furieux de cette séparation musicale. Les sessions d’enregistrement devinent glaciales.
L’album Dirty Work paru en 1986 fut le reflet parfait de ces tensions. 3 décousu enregistré dans une ambiance plombée par les querelles internes. Ke Richard ne cacha pas son amertume allant jusqu’à surnommer Mick Brenda, symbole de ses moquer àerbe contre le comportement jugé au de son camarade. Jager de son côté poursuivait ses propres explorations musicales et sociales, acceptant même d’être annobli par la reine en 2003, ce qui provoqua une nouvelle vague de critique de la part de Richard. Malgré ses clashes
publiques, le lien qui unissait Mick Jagger et Ke Richard restait indéfectible. Il le reconnaissaient eux-mêmes. Leur relation n’était plus celle de simples amis, mais celle de frères liés à vie portée par une histoire musicale hors norme qu’ils avaient bâti ensemble. La vie sentimentale de Mick Jagger continua d’alimenter les discussions.
En 1977, il entama une longue relation avec la mannequin Texan Gerryol. Leur histoire dura plus de 20 ans, ponctué de haut et de bas, mais donnant naissance à quatre enfants : Ellisabeth, James, Georgia et Gabriel. Leur union fut officialisée lors d’une cérémonie symbolique à Bali en 1990, mais cette mariage fut plus tard invalidé.
La fin de leur couple fut précipitée par une nouvelle infidélité de Mic, cette fois avec la présentatrice brésilienne Luciana Jimné qui donna naissance à Lucas en 1999. Au fil des années, Jager endossa aussi le rôle de père discret mais impliqué. Derrière les paillettes et le scandale, il restait attaché à ses enfants, multipliant les efforts pour rester présent malgré une carrière débordante.
Mais les coups durs ne l’épargnèrent pas. En 2014, il fut frappé par la disparition brutale de sa compagne Laurence Scott, styliste reconnue avec il partageait une relation depuis plus d’une décennie. La perte de Lauren, survenue alors que le groupe était entourné, marqua profondément le chanteur, révélant une facette plus fragile et intime de sa personnalité.
Malgré ses drames, Mick Jagger ne cessa jamais de regarder vers l’avant. Il retrouva un équilibre inattendu avec la danseuse américaine Mélanie Amrick de plusieurs décennies à cadette avec qui il eut un fils, Devro en 2016. À plus de soit ans, il redécouvrit la paternité, cette fois avec plus de recul, assumant un rôle différent, plus tendre et moins autoritaire.
Sur le plan professionnel, Jager poursuivit son incroyable parcours. Avec les Rolling Stones, il continua de remplir des stades à travers le monde, prouvant une endurance hors norme. Les albums s’enchaînèrent, les tournées se succédèrent et la légende continua de s’écrire. Mais en privé, Jager s’autorisait désormais à lever le voile sur ses propres interrogations, évoquant en interview ses réflexions profondes sur la célébrité et ses choix de vie.
Il avvoie qu’il aurait pu suivre une toute autre voix, lui qui excellait dans les études et nourrissait un réel intérêt pour l’économie et la politique. Plusieurs fois, il révéla avoir envisagé un destin de journaliste ou même de professeurs. Des carrières qui lui auraient apporté, selon lui, une forme de satisfaction intellectuelle qu’il n’a jamais pleinement retrouvé dans la musique.
La célébrité, malgré son glamour apparent, lui avait coûté cher. Entre solitude sur les routes, éloignement familial, rupture douloureuse et querelles internes, Mick Jagger se livra à un âge avancé avec une franchise touchante. Il reconnaissait les sacrifices liés à la vie de Rockstar, tout en assumant le chemin parcouru.
Désormais octogénère, Mick Jagger regarde en arrière avec une lucidité étonnante. L’époque des concerts interminables, des fêtes démesurées et des scandales tapageurs lui semblent à la fois lointaines et encore présentes. Il confie que s’il devait recommencer, il referait probablement les mêmes choix mais avec plus de conscience du prix payé.
Avec les années, sa vision de la scène a changé. moins dans la conquête, davantage dans le partage. Il se plaît à transmettre, à collaborer avec des artistes de génération nouvelles, à mélanger les styles sans jamais renier ses racines. Ses récentes collaborations sur l’album Acné Diamonds, au côté d’icôes comme Lady Gaga ou Paul McArtney en sont la preuve éclatante.
Le mic Jagger d’aujourd’hui est un homme apaisé, un père attentif, un musicien toujours curieux et un survivant d’une époque qui a dévoré nombre de ses compagnons. Il a traversé les époques, les modes, les drames et reste l’un des derniers géants du rock à toujours embraser les scènes du monde entier. L’histoire de Mickjagger est celle d’un homme aux multiples facettes.
Provocateur, séducteur, travailleur acharné, père imparfait mais aimant, artiste en perpétuelle évolution. Il a tout connu, la gloire, les excès, la solitude et la rédemption. Et à 81 ans, il continue d’écrire sa légende. Et vous, quelle période de sa carrière vous a le plus marqué ? N’hésitez pas à la partager en commentaire.
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