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« MENDIANTE OU PAS, VEUX-TU VOYAGER AVEC MOI? » DIT LE MILLIONNAIRE À LA JEUNE FEMME PAUVRE

 

 

Mandiant ou pas, “Veux-tu voyager avec moi ?” dit le millionnaire à la jeune femme pauvre. Elle ne s’attendait pas à ce qu’un homme en costume impeccable s’arrête devant sa boîte en carton. Claris Peret, âgé de 31 ans, s’était habitué au regard qui l’ignorait dans les rues de Lyon. Mais quelque chose dans l’expression de cet inconnu était différent.

 La matinée d’octobre était froide et le vent faisait voler les feuilles dorées dans la rue de la République. Claris serra son manteau déchiré contre elle, essayant de se protéger du froid qui lui glaçait les eaux. Elle avait perdu son emploi dans un petit café 6 mois auparavant et depuis sa vie s’était effondrée comme un château de carte.

 L’homme s’approcha lentement, les mains dans les poches de son par-dessus gris. Il était grand, avec des cheveux bruns, soigneusement coiffés et des yeux qui semblaient apporter le poids de nombreuses responsabilités. “Puis-je m’asseoir ici ?” demanda-t-il en désignant le perron de l’ancienne librairie à côté de l’endroit où se tenait Claris.

 Elle le regarda avec méfiance. Personne ne demandait jamais la permission de s’asseoir près d’elle. En général, les gens traversaient à la rue où faisaient semblant de ne pas la voir. “C’est un pays libre”, répondit Claris. sa voix enrouée par le manque de conversation. L’homme s’assit, gardant une distance respectueuse. Il sortit de sa poche un sandwich emballé dans du papier et le lui tendit.

“Merci, mais je n’accepte pas l’omone”, dit Claris avec fierté. “Ce n’est pas de l’omone”, répondit-il calmement. “C’est juste un sandwich que j’ai acheté en trop et que je ne pourrais pas manger.” Claris hésita. Son estomac grondait depuis des heures et l’odeur du pain frais était irrésistible. Elle prit le sandwich de ses mains tremblantes.

 “Comment vous appelez-vous ?” demanda l’homme. “Claris.” “Et vous ?” Louis Louis Dumont. Ils restèrent silencieux pendant quelques minutes, observant simplement le mouvement de la rue. Louis remarqua que Clarisait lentement, savourant chaque bouchée comme si c’était la dernière. “Depuis combien de temps êtes-vous ?” Louis s’arrêta, ne sachant comment terminer sa phrase, sans être offensant.

dans la rue ? Si mois, répondit Claris sans rancune. J’ai perdu mon emploi puis mon appartement. Je n’ai pas de famille pour m’aider. Louis hocha la tête compréhensif. Lui-même connaissait la sensation d’être seul au monde, même entouré de gens. Et vous ? Demanda Claris. Que fait un homme bien habillé assis par terre à discuter avec moi ? Louis sourit pour la première fois.

C’était un sourire triste, chargé de mélancolie. Je suis entrepreneur. J’ai une entreprise de technologie hérité de mon père. Mais parfois, parfois je me sens plus perdu que n’importe qui dans la rue. Claris l’observa. Il y avait de la sincérité dans ses yeux, une vulnérabilité qu’elle ne s’attendait pas à trouver.

 “Pourquoi vous êtes-vous arrêté pour me parler ?” demanda-t-elle. Louis réfléchit avant de répondre parce que vous êtes la première personne depuis des mois qui ne m’a pas regardé comme si j’étais juste un compte en banque. Le vent se renforça et Louis remarqua que Claris tremblait. Il retira son manteau et le lui tendit.

 Je ne peux pas accepter, dit Claris. Il est trop cher. Ce n’est qu’un manteau insista Louis. Et il fait froid. À contre-cœur, Claris accepta. Le manteau était chaud et sentait une eau de cologne coûteuse, masculine et réconfortante. “J’ai une proposition étrange à vous faire”, dit soudain Louis. Claris le regarda avec une méfiance renouvelée.

“Je dois partir à Marseille demain pour affaire, mais je ne veux pas y aller seul. Je ne veux plus de dîner solitaire dans des hôtels de luxe ou de conversation vides avec des cadres qui ne veulent quelque chose de moi.” Et alors ? demanda Claris sans comprendre où il voulait en venir. “Venez avec moi !” dit Louis la regardant droit dans les yeux.

 “Mandiant ou pas, voyage avec moi.” Claris resta bouche b. Cela ne pouvait pas être réel. “Vous êtes fou, vous ne me connaissez pas. Et moi, regardez-moi, je ne peux pas voyager dans cet état.” “Je peux arranger ça, dit Louis calmement. Des vêtements, un hôtel, tout. J’ai juste besoin d’une compagnie authentique, quelqu’un qui me parle comme vous le faites maintenant.

Pourquoi ferais-je ça ? Demanda Claris, son cœur battant la chamade. Parce que répondit Louis en se levant, vous semblez être la seule personne à Lyon qui ne veut rien de moi et parce que nous avons peut-être tous les deux besoin d’un nouveau départ. Il sortit une carte de visite de sa poche et la posa à côté d’elle.

 Je serai à l’hôtel Sophitel demain à ne heures du matin. Si vous voulez venir, venez. Si vous ne voulez pas, ce n’est pas grave. Louis commença à s’éloigner, mais s’arrêta et se retourna. Claris, vous pouvez garder le manteau de toute façon. Elle resta seule dans la rue tenant la carte dorée qui brillait sous la lumière du soleil d’automne.

 Le nom Louis Dumont PDG de Dumont Technologies était gravé en lettres élégantes. Pour la première fois depuis des mois, Claris ressentit quelque chose qu’elle avait oublié, l’espoir. Claris arriva à l’hôtel Sophitel à 8h45 tenant un sac plastique contenant ses seules possessions. Ses mains tremblaient mais pas à cause du froid cette fois.

 Le portier la regarda avec suspicion jusqu’à ce qu’elle montre la carte de Louis. Louis attendait dans le hall, impeccable comme toujours. Quand il la vit, son visage s’illumina d’un sourire sincère. Vous êtes venu dit-il en s’approchant. Je n’arrive toujours pas à croire que je fais ça ? Répondit Claris nerveuse. Occupons-nous d’abord de quelques détails, dit Louis.

 Il y a une boutique ici dans l’hôtel. Vous avez besoin de vêtements adaptés pour le voyage. Claris voulut protester mais Louis leva la main. C’est un investissement de ma part, pas une faveur. J’ai besoin que vous vous sentiez à l’aise. Dans la boutique, une vendeuse élégante aida Claris à choisir des vêtements simples mais de qualité.

 Lorsqu’elle sortit de la cabine d’essayage, portant un jean foncé et un pull en laine crème, Louis fut impressionné. Sans la saleté des rues et avec des vêtements propres, la beauté naturelle de Claris était évidente. Beaucoup mieux, dit-il. On y va. Dans le train pour Marseille, il s’assirent face- à face en première classe.

 Claris observait le paysage français défilé par la fenêtre, n’en croyant toujours pas sa chance. “Puis-je poser une question personnelle ?” dit Claris après un long silence. Bien sûr. Pourquoi m’avez-vous vraiment invité ? La vérité. Louis soupira et regarda par la fenêtre. Ma femme m’a quitté il y a un an, dit-il enfin. Elle a découvert que j’étais devenue une version de mon père qu’elle ne reconnaissait plus.

 Froid, distant, obsédé par le travail. “Je suis désolé”, dit Claris sincèrement. “Le pire, c’est qu’elle avait raison.” poursuivit Louis. J’ai passé tellement de temps à construire un empire que j’ai oublié comment être humain. Quand vous m’avez regardé hier, je n’ai vu ni avidité ni intérêt. J’ai vu de l’authenticité. Claris resta silencieuse, assimilant ses paroles. Et vous ? Demanda Louis.

Comment vous êtes-vous retrouvé dans la rue ? Claris prit une profonde inspiration. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas raconté son histoire à quelqu’un. Je travaillais comme secrétaire dans un petit cabinet d’avocat ici à Lyon. Je ne gagnais pas beaucoup mais c’était suffisant. Puis le cabinet a fermé.

 Le patron s’est enfui avec l’argent des clients. Et votre famille ? Mes parents sont morts quand j’avais 25 ans. Accident de voiture. Je n’ai pas de frères et sœurs. J’ai essayé de trouver un autre emploi mais vous savez comment c’est. Sans référence, sans adresse fixe après avoir perdu mon appartement. Louis l’observa avec une expression pensive.

Vous avez une formation en quoi ? Administration. J’ai obtenu mon diplôme à l’université de Lyon, mais ça semble remonter à une autre vie. 6 ans d’université, ça ne disparaît pas, dit Louis. Dites-moi de quelle ville et de quel pays vous regardez cette vidéo. Je lirai tous les commentaires.

 Le train arriva à Marseille en fin d’après-midi. Louis avait réservé deux chambres au grand hôtel Beauaveau avec vue sur le vieux port. Claris fut émerveillé par la chambre luxueuse avec son lit king size et sa salle de bain en marbre. On d ensemble à hesh demanda Louis dans le couloir. Je ne sais pas si je devrais répondit Claris.

 Je ne veux pas que les gens pensent. Penses quoi ? Demanda Louis sincèrement curieux. Que je suis votre Vous savez Louis rit. Un son chaleureux que Claris n’avait pas encore entendu. Claris, vous êtes mon invité et toute personne qui pense autrement ne mérite pas notre attention. Au restaurant de l’hôtel, ils partagèrent une table près de la fenêtre avec vue sur la Méditerranée.

 Claris se sentait mal à l’aise avec toute cette élégance autour d’elle, mais Louis la rassura. Vous avez votre place partout où vous choisissez d’être”, dit-il. Pendant le dîner, ils parlèrent de livres, de films, de rêves anciens. Louis découvrit que Claris était intelligente et bien informée malgré ses mois difficiles. Elle découvrit que Louis, derrière sa façade d’homme d’affaires, était sensible et drôle.

 “Puis-je poser une autre question personnelle ?” dit Claris, prenant son courage à deux mains. Toujours. Votre ex-femme vous manque-t-elle ? Louis resta pensif, faisant tourner son verre de vin dans ses mains. La personne que j’étais quand j’étais avec elle me manque au moins les premières années. Mais elle, elle a changé aussi ou peut-être que je ne l’ai jamais vraiment connu.

 Comment vous êtes-vous rencontré ? À l’université. Elle étudiait le droit, moi l’administration. Ça semblait parfait sur le papier. Deux personnes ambitieuses voulant conquérir le monde. Et vous avez conquis tout, sauf le bonheur, dit Louis avec un sourire amer. Après le dîner, ils se promenèrent dans le vieux port.

 La brise marine était rafraîchissante et les lumières des bateaux dans l’eau sombre. “Merci”, dit soudain Claris. “De quoi ?” “De m’avoir rappelé qui je suis”, répondit-elle. Ça faisait si longtemps que je me voyais seulement comme une victime des circonstances. Aujourd’hui, je me suis sentie humaine à nouveau.

 Louis s’arrêta de marcher et se tourna vers elle. Claris, puis-je vous faire une proposition ? Son cœur s’emballa. Ce regard intense qu’il avait intrigué le premier jour était de retour. Revenez à Lyon avec moi, pas dans la rue. Travaillez pour moi. J’ai besoin de quelqu’un en qui j’ai confiance. quelqu’un sans arrière-pensée. “Louis, je ne me répondez pas maintenant”, dit-il rapidement.

“Réfléchissez, nous avons encore deux jours ici.” Ils retournèrent à l’hôtel en silence, chacun perdu dans ses pensées. En se disant “Bonne nuit dans le couloir, Louis effleura légèrement la main de Claris.” “Bonne nuit, Claris ! Bonne nuit, Louis !” Seul dans sa chambre, Claris regarda par la fenêtre la mer sombre.

 Pour la première fois depuis longtemps, l’avenir ne semblait pas être juste une succession de jours difficiles à survivre, mais aurait-elle le courage d’accepter une nouvelle chance ? Le lendemain matin, Louis frappa à la porte de Claris avec du café et des croissants frais. “J’ai pensé qu’on pourrait prendre le petit-djeuner sur le balcon”, dit-il lorsqu’elle ouvrit la porte.

 Il s’assirent sur le petit balcon de la chambre de Claris. observant l’animation du port en contrebas. Le soleil matinal réchauffait leur visage et pour la première fois depuis des mois, Claris se sentit vraiment détendu. “Avez-vous réfléchi à ma proposition ?” demanda Louis après qu’ils eurent fini de manger. “Oui”, répondit Claris jouant avec sa tasse vide.

 “Mais j’ai peur de quoi ?” “De vous décevoir, de ne pas être la personne que vous pensez que je suis.” Louis se pencha en avant, ses yeux sérieux. Claris, hier soir, j’ai appelé mon bureau. J’ai parlé avec mon assistante actuelle. Elle est compétente mais c’est comme parler à une machine. Vous avez quelque chose qu’on ne peut pas acheter de l’honnêteté et de l’humanité.

 Mais si ça ne marche pas, si je n’arrive pas à me réadapter au monde de l’entreprise, “Et bien, nous essaierons autre chose”, dit Louis simplement. L’important, c’est d’essayer. Ils passèrent la journée à explorer Marseille. Ils visitèrent la basilique Notre-Dame de la Garde, se promenèrent dans les ruelles étroites du quartier du Panier et déjeunèrent d’une bouille à baisse dans un petit restaurant avec vue sur la mer.

 “Vous savez”, dit Claris en observant les pêcheurs au port. “Je rêvais de voyager avant, avant que tout ne s’effondre. Où vouliez-vous aller ? En Italie, en Espagne, même au Brésil ? Je voulais découvrir d’autres cultures, apprendre des langues. Et pourquoi avez-vous arrêté de rêver ? Claris haussa les épaules. La vraie vie est arrivée.

 Des factures à payer, des responsabilités. Et puis, et bien, vous savez ce qui s’est passé. Les rêves n’ont pas de date d’expiration, dit Louis doucement. Cet après-midi-là, Louis eut sa réunion d’affaires. Claris resta seule à l’hôtel, profitant de ce temps pour réfléchir. Elle prit un long bain, enfila l’une des nouvelles robes que Louis lui avait acheté et se regarda dans le miroir.

 La femme qui lui rendait son regard n’était plus la mendiante effrayée de la rue de la République. C’était quelqu’un avec de la dignité, avec des possibilités. Quand Louis revint de sa réunion, il la trouva en train de lire dans le hall de l’hôtel. “Comment ça s’est passé ?”, demanda-t-elle. “Bien, nous avons signé le contrat”, répondit Louis.

 “Mais il semblait distrait. Claris, puis-je être honnête avec vous à propos de quelque chose ?” “Bien sûr, je ne vous ai pas invité juste parce que j’avais besoin de compagnie. Il y a quelque chose en vous qui m’intrigue depuis le premier instant. Vous me donnez envie d’être une meilleure personne. Claris sentit ses jours rougir.

 Louis, je ne déclare pas un amour éternel, dit-il rapidement. Ce serait bien trop précipité, mais il y a une connexion entre nous que je ne peux ignorer. Claris resta silencieuse un long moment. Je ressens ça aussi, admit-elle enfin, mais j’ai peur que ce ne soit que de la gratitude de ma part ou que vous confondiez compassion et autre chose.

 C’est possible concéda Louis. C’est pourquoi je pense qu’il faut y aller doucement, commencer en tant qu’am, collègue de travail, voir ce qui se passe naturellement et s’il ne se passe rien, alors nous serons des amis qui se respectent mutuellement. Il n’y a rien de mal à ça. La dernière nuit à Marseille, il dinerne dans un petit bistro du quartier historique.

L’atmosphère était intime avec des bougies sur les tables et une douce musique française en fond. Alors demanda Louis après qu’ils eurent commandé le dessert. Quelle est votre décision ? Claris prit une profonde inspiration. Pendant 3 jours, elle s’était sentie vivante à nouveau. Elle avait retrouvé son intelligence, ses capacités, sa dignité.

J’accepte, dit-elle. J’accepte de travailler pour vous, mais à une condition, laquelle ? Je veux commencer pour de vrai. Je ne veux pas de faveur spéciale parce que vous avez pitié de moi. Si je ne suis pas bonne dans mon travail, vous me licenciez. D’accord. Louis sourit et tendit la main. D’accord.

 Ils se serrèrent la main au-dessus de la table, scellant non seulement un accord professionnel, mais le début d’une nouvelle phase de leur vie. Dans le train de retour pour Lyon, Claris regarda par la fenêtre et vit son reflet se superposer au paysage qui défilait. C’était comme une métaphore parfaite, le passé et l’avenir se mélangeant, créant quelque chose de nouveau.

 “À quoi pensez-vous ?” demanda Louis. “À comment la vie peut changer en quelques jours ?” répondit-elle. En refug, il y a une semaine, je dormais dans une boîte en carton. Aujourd’hui, je retourne vers une nouvelle vie. Effrayant, “Très”, admit Claris, mais aussi excitant. Quand ils arrivèrent à Lyon, Louis l’emmena directement dans un petit appartement confortable qu’il avait loué pour elle.

 C’est simple”, dit-il un peu gêné, mais c’est propre et sûr, c’est près du bureau. Claris fit le tour de l’appartement, touchant les meubles comme s’ils étaient des trésors. Il y avait un vrai lit, une cuisine équipée, une salle de bain avec une douche chaude. “C’est parfait !”, dit-elle, les larmes aux yeux. “Claris ?” dit Louis à la porte.

 Oui, merci d’avoir accepté de venir avec moi. Ce furent les trois meilleurs jours que j’ai passé depuis longtemps. Après son départ, Claris s’assit sur son nouveau lit et pleura. Mais ce n’était pas des larmes de tristesse, c’était des larmes de gratitude, d’espoir renouvelé, d’une seconde chance qu’elle n’aurait jamais imaginé avoir.

 6 mois plus tard, Claris était établie comme assistante exécutive de Louis. Elle s’était révélée non seulement compétente mais indispensable. Son expérience dans la rue lui avait donné une perspective unique sur les gens et les situations, ce qui aidait lui à prendre de meilleures décisions. Et oui, ce qui avait commencé comme une amitié s’était lentement transformé en quelque chose de plus profond.

 Il n’avaient pas précipité les choses, n’avaient rien forcé. Ils avaient simplement laissé les sentiments s’épanouir naturellement. Un après-midi, en organisant l’agenda de Louis, Claris trouva une vieille photo de lui avec son ex-femme. Elle lui montra la photo. “Vous gardez encore ça ?” demanda-t-elle. Louis regarda la photo un instant, puis la rangea dans un tiroir pour “Pour me rappeler qui je ne veux plus être”, dit-il.

 “Et qui voulez-vous être ?” Louis la regarda avec ce sourire qui lui était devenu si familier. Quelqu’un qui sait que la valeur des gens ne réside pas dans ce qu’ils possèdent, mais dans ce qu’ils sont. Claris lui rendit son sourire. Parfois recommencer ce n’est pas revenir au début, c’est juste choisir un nouveau chemin.

 Et elle avait bien choisi. Cette histoire nous rappelle que la vraie richesse ne réside pas dans ce que nous possédons, mais dans les connexions humaines authentiques que nous créons. Louis a découvert que sa fortune ne lui apportait pas le bonheur qu’il cherchait, tandis que Claris a appris que perdre tout matériellement ne signifie pas perdre sa dignité et sa valeur en tant que personne.

 Parfois les rencontres les plus inattendues nous montrent qui nous sommes vraiment et qui nous pouvons devenir. Si vous avez aimé cette histoire, commentez ci-dessous, partagez-la avec vos amis et abonnez-vous pour découvrir les prochaines.

 

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