À 68 ans, Le mari de Tina Turner révèle la vérité bouleversante sur ses derniers jours
Mesdames, messieurs, le 24 mai 2023, dans sa villa paisible au bord du lac de Zuric, Tina Turner s’est éteinte à 83 ans. Une faim douce pour une vie forgée dans la douleur. Car avant d’être une légende, elle fut une femme brisée. En 1976, au cœur de la nuit, elle s’enfuit d’un hôtel de Dallas.
couverte d’équimoses avec seulement 36 cents dans la poche. Derrière elle a ton mari violent et mentor déchu. Devant elle, l’inconnu ce soir-là, Anne May Bulock mourrait et Tina Turner naissait. Elle allait reconquérir le monde seule, armée de sa voix et d’une rage de vivre inépuisable. Des décennies plus tard, elle trouvera enfin la paix qu’elle cherchait depuis l’enfance.
Voici l’histoire d’une femme qui a transformé l’enfer en lumière et dont la vérité bouleverse encore aujourd’hui. Anna Maibulock voit le jour le 26 novembre 1939 à Notbush dans le Tennesseis rural. Son enfance est marquée par la pauvreté, la solitude et la violence domestique. Son père, contre maître dans une plantation quitte le foyer après avoir battu sa mère et sa mère disparaît peu après.
Anna grandit balloté entre des proches, travaillant très jeune dans les champs de coton. Mais à l’église baptiste, sa voix attire les regards, puissante, rque, pleine d’émotion. C’est là que n’est la flamme qui ne s’éteindra jamais. À 17 ans, elle rencontre Turner, musicien charismatique et ambitieux. Il remarque son énergie sur scène et la rebâtise Tina Turner, un nom qu’il dépose comme une marque.
Derrière le duo brillant des Ike and Tina Turner Review, la réalité est sombre. Ikke impose son autorité, contrôle chaque tournée, chaque mot, chaque respiration. Tina, enceinte, épuisée, subit ses coups, ses humiliations et ses trahisons. Elle tente de se suicider en 1968, avalant des somnifères après une nuit d’insulte.
Mais elle survit, décidé de reprendre le contrôle de sa vie. En 1976, après une dispute violente dans un hôtel de Dallas, elle fuit pied nu avec quelques pièces dans la poche. 2 ans plus tard, le divorce est prononcé. Tina abandonne tout. Maison, voiture, droits d’auteur. Ne demandons qu’une chose, conserver son nom de scène.
Cette décision devient le symbole de sa renaissance. Les années suivantes sont d’une dureté extrême. Les producteurs la fuient, les radios l’oublient. À 40 ans, elle chante dans des clubs myteux, dort parfois dans les coulisses. Pourtant, elle persévère, portée par une conviction. Sa carrière n’est pas terminée. En 1984, l’album Private Dancer change tout.
Produit en Londres, il se vend à plus de 20 millions d’exemplaires et la propulse au sommet. La chanson Watslove got to the Wizard lui offre quatre gramy award et un retour triomphal sur les plus grandes scèes du monde. Tina Turner devient alors un phénomène. Ses concerts électrices des stades entiers, sa chevelure flamboyante, sa voix fau et son énergie animale fascine Mick Jagger, Elton John, David Bowy, Brian Adams.
Elle impose un modèle inédit. Celui d’une femme noire, mû, libre et conquérante dans un univers dominé par les hommes. Mais derrière la star internationale, Annai n’oublie jamais ses cicatrices. En 1986, elle publie son autobiographie A Tina où elle révèle l’ampleur des violences subies. Le livre choque, inspire et devient la base du film What’s love God to do with It 1993 où Angela Labassette incarne son destin.
Cette même année 1986, le hasard lui présente Ervin Bach, un jeune cadre allemand de saison son cadet. C’est un tourment inattendu. Lui, discret et bienveillant, l’aime pour ce qu’elle est, loin du myth. Ensemble, il s’installe en Suisse où Tina retrouve le calme qu’elle l’avait jamais connu.
Après 50 ans de carrière, plus de 100 millions de disques vendus et d’innombrables tournées, Tina Turner prend sa retraite en 2009. Elle a vaincu la peur, le silence et la honte. À travers sa voix, elle a transmis un message universel. La force ne n’est pas de la gloire mais de la survie. De la petite fille abandonnée de Notbush à la reine mondiale du rock, Tina Turner a écrit sa légende ligne par ligne, cicatrice après cicatrice.
Le 24 mai 2023 à Cousnact, près de Zuric, le téléphone d’urgence reste silencieux. Tina Turner vient de s’éteindre paisiblement dans son lit au cœur de sa villa baptisée Château Algonquien. Depuis des années, les rumeurs sur son état de santé circulaient, mais la chanteuse avait choisi le silence. Seul quelques proches savaient qu’elle luttait contre de lourds problèmes rénaux depuis 2017.
Ce jour-là, son mari Erwin Bach, son compagnon depuis plus de trois décennies, est à ses côtés. Il tient sa main, lui murmure une chanson qu’elle aimait, Simply the Best. Puis tout s’arrête. Le mystère cependant commence après sa mort. Carina Turner avait soigneusement préparé sa disparition, presque comme un dernier acte de scène.
Elle avait refusé toute hospitalisation prolongée, préférant mourir chez elle, entourée de bougies et de musique. Les médias helvétiques rapporteront que dans les jours précédents, elle s’était retirée du monde extérieur demandant à ne plus être photographiée. Elle savait que son corps s’affaiblissait.
Elle ne voulait pas que l’image de la douleur efface celle de la puissance. Les causes officielles, confirmées par son porte-parole évoquent une longue maladie, principalement les complications d’une insuffisance rénale. Mais des questions persistent. Certains tableoïdes ont insinué qu’elle aurait envisagé le suicide assisté, pratique légale en Suisse.
Son entourage a toujours nié, affirmant que Tina croyait profondément à la vie, même diminué. Son biographe Corte l’odeur, dira plus tard : “Elle voulait que la mort soit en acte de paix. Pas de désespoir. Ce qui bouleverse encore, c’est la discrétion absolue de ces derniers jours. Pas d’adieux public, pas de message aux fans, pas même une cérémonie officielle.
Tina Turner avait toujours dit qu’elle voulait partir comme elle avait vécu, libre. La star qui faisait trembler les stades s’était transformée en une femme silencieuse méditant au bord du lac. Selon ses amis, elle se levait chaque matin pour regarder le lever du soleil. écouterit du jazz et remercier la vie. Quelques jours avant sa mort, elle aurait confié à Erwin : “Je ne crains plus rien, j’ai tout donné.
” Cette phrase deviendra plus tard la clé de compréhension de son départ. Caré les décennies de gloire, Tina avait traversé trop d’épreuves. La perte de deux fils, Crag en 2018, suicide, Roni en 2022, Cancer. La maladie, la fatigue détournée, les souvenirs douloureux d’eig Turner. Elle ne fuyait pas la mort. Elleattendait avec sérénité. Le 28 mai 2023, la police de Cousnact confirme qu’une autopsie n’est jugée nécessaire.
La famille demande le respect total de l’intimité. Le cercueil est crémé le lendemain dans une cérémonie privée sans caméras, sans discours officiels. Erwin Bach en larme aurait simplement prononcé : “Elle m’a appris que l’amour s’est donné tout sans rien attendre.” Mais à la presse mondiale sans flamme, les réseaux sociaux voient renaître le débat sur la solitude des légendes.
“Comment une femme qui a fait danser la planète entière a-t-elle pu finir ses jours presque reclus ?” La réponse se trouve peut-être dans la phrase qu’elle avait écrite dans son livre My love story. J’ai passé la moitié de ma vie à chercher la paix. Maintenant, je l’ai trouvé. Ce qui reste de Tina Turner aujourd’hui, ce ne sont pas seulement ces disques, mais le mystère d’une âme qui a tout traversé, la célébrité, la souffrance, la rédemption.
Sa mort n’a rien de tragique, c’est l’aboutissement d’un long chemin vers la liberté. Les fans du monde entier, de même fils à Paris, ont allumé des bougies devant ses portraits. Mit Jager écrira “Elle m’a montré que la scène pouvait être un lieu de survie.” Angela Bassette, qu’il avait incarné au cinéma rendra hommage à la femme qui m’a appris que la douleur peut devenir Tina Turner n’a pas eu besoin de mots pour dire adieu.
Son silence final fut un cri d’apaisement. Dans la maison sur Plombant le lac, la musique ne s’est jamais arrêtée. On dit que jusqu’à la fin, une playlist jouait doucement. River Deep, Mountain Eh, Private Demir, the best. Dans cette écho, elle s’en est allée, laissant derrière elle un mythe et une leçon. La gloire passe, la dignité reste.
Au moment de sa mort, Tina Turner laissait dernière elle une fortune estimée à environ 250 millions de dollars selon Forbes et Bloomberg. Mais ce chiffre, bien que vertigineux ne résume pas la véritable ampleur de son héritage. Car ce que la chanteuse a construit n’est pas qu’un empire financier, c’est une œuvre de résilience, une marque intemporelle.
Son principal actif se trouvait en Suisse dans la somptueuse propriété de Cusnascht, acheté en 1998 et baptisé château Algoncoin. Niché au bord du lac de Zuric, entouré de jardin japonais et d’une vue sur les Alpes, cette demeure est devenue son refus spirituel. En 2021, Tina et Irvin Bach avaient même acquis une seconde résidence, un domaine de 70 millions de francs suisses dans le canton voisin de Stafa, considéré comme l’une des propriétés privées les plus chères du pays.
Outre l’immobilier, Tin Terner détenait les droits sur une grande partie de son catalogue musical. Jusqu’en 2021, année où elle prit une décision historique, elle vendit la totalité de ses droits d’auteur et d’images og en BMG Rights Management pour environ 50 millions de dollars. Ce contrat couvrait ses enregistrements, son nom, son image et son héritage publicitaire.
Un geste symbolique, c’était sa manière de régler définitivement son passé artistique, de refermer le rideau avec contrôle. Sur le plan familial, la question de la succession fut d’une simplicité rare. N’ayant plus de liens étroits avec les États-Unis depuis sa naturalisation suisse en 2013, Tina Turner avait établi un testament conforme au droitsque.
Son mari, Ervin Bach en fut le principal héritier. Aucun conflit juridique n’est éclaté, contrairement à tant d’autres légendes disparues. Le couple vivait sous un régime de confiance totale depuis sa transplantation rénale en 2017. Tina disait souvent que la moitié de ma vie appartient déjà à Ervin. Ses deux fils biologiques, Cig et Ronnie étant décédé avant elle, la chanteuse avait veillé à assurer une part de son patrimienne aux enfants adoptifs d’e Turner qu’elle avait été élevée comme les siens ainsi qu’à plusieurs
organisations caritatives. Parmi ell UNICEF, Amnestie Internationale et Latina Turner Foundation axé sur la protection des femmes victimes de violence conjugale. Ce qui étonne les analystes, c’est la solidité de son empire financier malgré son retrait de la scène depuis 2009. Ses ventes postes ont connu une hausse spectaculaire après sa mort, plus 350 % sur les plateformes numériques selon Billboard.
L’album Private Dancer s’est replacé dans les classements européens et Netflix a acquis les droits de diffusion du documentaire Tina produit en 2021 par HBO pour un public mondial. En Suisse, les médias ont souligné l’exemplarité de sa gestion patrimoniale. Pas de dette, pas de litige, pas de compte opaque. La Star avait su transformer les blessures en chiffres solides.
Elle investissait prudemment, diversifiant entre immobilier, action européenne et part dans des sociétés de production musicale. L’image qu’elle laissait derrière elle est aussi une valeur inestimable. En 2023, peu après son décès, les ventes de produits dérivés officiels ont explosé. poster, vinyle, livres, exposition.
L’entreprise BMG a même lancé un projet d’archive globale baptisé de Tinaternor Legacy dédié à la préservation de ses costumes, de ses journaux intimes et de ses instruments musicaux. Ainsi, la reine du rock n’a pas seulement légué une fortune, elle a transmis une leçon d’indépendance financière. Dans un monde où tant d’artistes ont fini ruinés, Tina Turner a su reprendre possession de son destin jusqu’au dernier jour.
Son patrimoine aujourd’hui administré par Ervin Bach et deux avocats suisses demeurent un modèle de lucidité et de paix. À Zuric, devant la grille blanche du château Algoncoin, des fans déposent encore des fleurs et des lettres. Certains glissent un mot dans la boîte aux lettres comme si elle pouvait encore répondre.
Peut-être que d’une certaine manière, elle le fait à travers la lumière dorée de son héritage intact, digne et vivant. La disparition de Tina Turner a ouvert un débat rare sur ce que signifie réellement réussir sa vie. Car derrière la richesse et la gloire, sa trajectoire pose une question essentielle.
Peut-on vraiment guérir de la violence ? Pour beaucoup, Tina Turner incarne la preuve qu’on peut transformer la douleur en puissance. Mais d’autres rappellent que cette résilience eut un prix, l’isolement, la méfiance et la distance choisie face au monde. En Europe, surtout en France, la presse a souligné l’influence immense de son parcours sur les femmes artistes.
Des chanteuses comme Zaz, Ayanakamura ou Angelle ont cité Tina comme un symbole de liberté et de vérité scénique. Car elle n’a jamais cherché à paraître parfaite. Elle chantait La vie brute avec ses cicatrices. Sur le plan sociologique, son histoire raisonne comme une parabole moderne. La femme noire américaine exploitée, humiliée, qui reconquière le pouvoir par sa voix et par la maîtrise de son image.
En refusant le rôle de victime, elle a redéfini l’idée même de dignité. Son combat rejoint celui de nombreuses figures du féminisme postmou. Même si Tina n’a jamais revendiqué ce mot, elle l’a vécu simplement. La paix suisse qu’elle s’était construite fut aussi un choix politique, celui de quitter les États-Unis, pays qu’il avait adoré mais jamais protégé.
Ce départ fut un message discret mais puissant. La liberté a un prix, celui de l’exil. Sa mort rappelle également la solitude des icônes, ces artistes qui appartiennent à tout le monde sauf à eux-mêmes. En refusant le spectacle de sa fin, Tina Turner a repris le contrôle d’un dernier acte que tant de stars subissent. Là où d’autres meurent devant les caméras, elle a fermé le rideau elle-même.
Aujourd’hui, les jeunes générations la redécouvrent sous un autre prisme, non plus comme la chanteuse de Best, mais comme une survivante, une philosophe de la vie. Sa phrase “J’ai appris que le bonheur est une décision” circule sur TikTok et Instagram. Preuve que son héritage dépasse la musique. Tina Turner n’a pas seulement marqué l’histoire du rock.
Elle a réinventé la manière de vieillir, d’aimer et de partir. Mesdames, messieurs, Tina Turner n’a pas quitté le monde dans le bruit, mais dans la paix. Elle avait commencé sa vie dans la poussière du Tennessee, l’a vécu sur les plus mentes scènes de la planète et l’a terminé dans le silence d’une maison au bord d’un lac.
Son parcours est celui d’une femme qui a refusé la fatalité, qui a affronté l’humiliation, la maladie et la mort avec une force presque surnaturelle. À travers ces chansons, elle a offert une revanche à toutes celles et ceux qui ont été brisées. Proud Mary, the best, provide dancer, autant d’hymne à la résistance. Son rire, son énergie, son feu intérieur continue de brûler dans la mémoire collective.
Erwin Bach dira plus tard et a transformé la souffrance en lumière. Et peut-être est-ce cela le véritable miracle de Tina Turner ? Avoir fait de chaque chute une renaissance, de chaque cicatrice un éclat d’or. Aujourd’hui, le monde se souvient non seulement de la star, mais de la femme, celle qui a trouvé la paix qu’elle cherchait depuis toujours.
La flamme s’est éteinte, mais la lumière, elle, ne s’éteindra jamais. M.


