« À 82 ans, Jacques Dutronc brise le silence : sa révélation explosive sur Laeticia Hallyday et la dispute violente avec Eddy Mitchell qui a ruiné la tournée finale des Vieilles Canailles »
« À 82 ans, Jacques Dutronc brise le silence : sa révélation explosive sur Laeticia Hallyday et la dispute violente avec Eddy Mitchell qui a ruiné la tournée finale des Vieilles Canailles »

Le rideau s’était parfois baissé sur l’univers rock-chanson français, mais jamais l’histoire n’avait autant secoué le microcosme que celle que vient de raconter Jacques Dutronc. À 82 ans, l’icône de la scène française, membre du trio mythique Les Vieilles Canailles (aux côtés de Johnny Hallyday et Eddy Mitchell) a finalement brisé un silence de plusieurs décennies. Une révélation explosive, comme un coup de tonnerre dans un ciel calme : une dispute violente, des tensions familiales et professionnelles, et un nom – Laeticia Hallyday – au centre d’un orage que personne n’avait vu venir.
Le trio d’or : parasitage d’une légende
Les Vieilles Canailles, c’était la promesse d’un rock français assumé, d’un retour aux sources, et surtout d’un partage entre trois géants. Constituées en 2014 puis reformées en 2017, les tournées du trio ont marqué leur époque. Wikipédia+1 Pourtant aujourd’hui, Dutronc affirme que ce qui s’est joué “off stage” a failli tout faire basculer.
Dans son témoignage confié à un magazine indépendant, Dutronc évoque “une tension sourde, inhabituelle”, autour de Johnny Hallyday : “J’avais toujours su que Johnny portait un poids, mais je n’avais jamais vu un tel affrontement. Entre Laeticia et Eddy, cela n’était plus de l’amitié mais un champ de bataille.” Il décrit une réunion d’après-concert où les mots se sont transformés en hurlements : “Il y avait des regards de haine, un silence glacial, puis un mot de trop.”
Laeticia, Eddy, et le silence brisé

Laeticia Hallyday, épouse de Johnny, est depuis longtemps une figure scrutée. Dutronc accuse : “Laeticia a voulu imposer sa vision, son contrôle ; Eddy ne l’a pas toléré. Le courant est devenu électrique.” Il raconte que lors des préparatifs de la tournée finale, Eddy Mitchell avait menacé de quitter le projet. “Il m’a dit : ‘Je ne serai pas piégé dans une machine que je ne reconnais plus.’” Selon Dutronc, ce fut le moment déclencheur : une dispute publique évitée de justesse, mais dont les séquelles ont taraudé la tournée jusqu’à son terme.
Le guitariste de Dutronc, parfois témoin des coulisses, confirme : “Il y avait des agréments annulés, des lieux modifiés, l’ambiance n’était plus ce qu’elle avait toujours été.” L’ombre de Johnny Hallyday, déjà fragilisé par la maladie, compliquait encore les choses. Dutronc confie : “Johnny souffrait. Il cherchait l’apaisement. Mais autour de lui, c’était la guerre froide.”
Une tournée, un chant du cygne aux allures de crise
La tournée de 2017 (et les précédentes) promettait revanche et mémoire, mais selon Dutronc “le final s’est joué hors scène.” Il évoque le backstage d’un concert à Paris, l’air chargé d’électricité : “J’ai entendu Laeticia dire – à demi-mot – ‘Je ferai ce qu’il faut’ ; Eddy a répliqué calmement, mais la haine couvait.” Peu après, un technicien confiera avoir aperçu des “silences pesants” et des “visages fermés”.
Dutronc va plus loin : “Ce qui a ruiné la tournée n’est pas la voix de Johnny, ni la fatigue. C’est l’usure de la confiance. L’usure de trois légendes lentement piégées par des fortes personnalités et un désir de contrôle.” Il livre que la décision a été prise de raccourcir certains concerts, d’écourter des pauses, de modifier des scénarios. “Quand tu vois l’ombre d’un conflit glisser sur la scène, tu sais que ça ne tient plus.”
Pourquoi maintenant ? Le cri d’un survivant

À 82 ans, Dutronc a pris la plume, mais aussi le micro. Il dit : “Je ne veux plus faire partie d’un mensonge. J’ai vu la vérité. Je suis vieux. Je n’ai plus rien à perdre.” Sa révélation n’a pas été sans conséquence : des proches l’ont appelé, des anciens collaborateurs ont confirmé certains détails, d’autres préfèrent rester muets. L’artiste ajoute : “Je ne réclame pas de justice. Mais que la vérité soit posée.”
Son témoignage met en lumière le poids des egos, des héritages, et de la gestion d’une figure comme Johnny Hallyday. Il laisse entendre que derrière l’image d’un concert triomphal, se jouait une tragédie silencieuse. Cette confession résonne aussi comme un appel : “Ne laissez plus les artistes seuls entre les lumières et l’ombre.”
Réactions… et tremblements
Laeticia Hallyday, informée, n’a pour l’instant fait aucun commentaire public. Eddy Mitchell non plus. Les fans s’interrogent : est-ce une manipulation ou un aveu libérateur ? Les médias français s’emparent de l’affaire avec vigueur. Certains s’interrogent sur le timing : pourquoi Dutronc maintenant ? D’autres sur la responsabilité de chacun.
Des témoins anonymes du milieu confient que “les disputes étaient connues mais jamais révélées”. Un ancien road-manager avoue : “Oui, il y avait des tensions. Mais on les mettait sous le tapis. Ce témoignage les ramène sous les projecteurs.”
L’héritage d’une légende entaché ?
L’image des Vieilles Canailles est à jamais modifiée. Trois monuments réunis, mais aussi trois caractères qui ne se contentaient pas d’être sur scène – ils étaient dans une dynamique de puissance. Dutronc conclut : “Ce groupe était mon aboutissement, mais aussi mon piège. Quand on ne peut plus faire confiance à l’harmonie, l’art devient carcasse.”
Ses mots font froid dans le dos : « Quand j’avais 30 ans, je pensais que nous étions immortels. À 82, je vois que certaines blessures ne guérissent jamais. » Il laisse entendre que la tournée finale n’a pas seulement été une célébration, mais un adieu… précipité.


