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Cette BELLE MERE coupe les CHEUVEUX de la fille pour la rendre LAIDE, la suite CHOQUE conte africain

 

 

Dans un petit village d’Afrique, au pied d’une grande colline, vivait une jeune fille nommée Allah. Elle n’était pas seulement belle. Elle portait en elle quelque chose de rare, une lumière, une bonté qui touchait même les cœurs les plus durs. Zala se levait avant le soleil. Chaque matin, on pouvait la voir, pied nu, un saut sur la tête, marchant vers la rivière.

 Elle saluait les anciens, aidait les enfants à traverser la route et offrait toujours son sourire. Les femmes disaient qu’elle était trop parfaite. Les hommes disaient que les ancêtres l’avaient béni. Mais dans sa maison, quelqu’un brûlait de jalousie. Sa belle-mère, Niara ne supportait plus que tous les regards se posent sur la jeune fille.

 Chaque compliment adressé à Zala était pour elle une blessure. Chaque rire de Zala sonnait comme une provocation. Son du soir, cri d’un hibou, feu qui crépite. Une nuit, alors que la lune veillait sur le village, Niara se leva. Ses yeux brillaient d’une colère froide. Elle entra dans la chambre de Zala, endormit et s’approcha lentement.

 Dans sa main, elle tenait une vieille lame. Sous la lumière bleue de la lune, elle coupa les longues tresses noires de la jeune fille, mèche après mèche, sans un mot. Puis elle jeta les cheveux dans le feu, murmurant : “Que la beauté quitte cette maison à jamais.” Le feu crépita. La fumée montaédiction. Au matin, Ala se réveilla.

 Quand elle posa la main sur sa tête, elle sentit la ponue. Elle se précipita vers la rivière. Son reflet dans l’eau la fit reculer d’horreur. Ses cheveux avaient disparu. Ses yeux, autrefois brillants, étaient remplis de larmes. Autour d’elle, les femmes du village chuchotaient. Les enfants rient dans son dos et ceux qui l’admiraient autrefois la regardaient désormais avec pitié.

Zala s’enfu dans la forêt. Elle marcha longtemps sans savoir où aller jusqu’à ce que ses forces la quittent. Elle s’assit au pied d’un grand baab et pleura. Vendou, feuille qui bouge, son mystique. Mais dans le silence, une voix douce s’éleva. C’était celle du vent ou peut-être celle d’un esprit ancien.

 Elle disait : “Ne pleure pas, enfant du soleil. Ce qu’on t’a pris n’était qu’une ombre. Ce que tu portes à l’intérieur, personne ne peut le couper. Zala leva la tête. Une brise chaude passa dans ses cheveux coupés et pendant un instant, elle sentit la paix. Alors, elle se remit debout et suivit la voix. Au cœur de la forêt, elle arriva devant une vieille femme vêtue de blanc.

 Son regard était profond comme la rivière. Autour d’elle, le vent semblait danser. Sans parler, la vieille lui tendit une calebasse remplie d’eau argentée. Zala comprit sans qu’on le lui dise. Elle remercia la vieille femme d’un signe de tête, puis retourna au village. Au champ d’oiseau, ambiance douce.

 Quand le premier rayon du soleil toucha la terre, Alla vers l’eau sur sa tête et soudain, une lumière doré jailli autour d’elle. Son corps fut enveloppé d’une chaleur douce et ses cheveux repoussèrent. plus long, plus brillant qu’avant. Mais ce n’était pas seulement son apparence qui avait changé.

 Son regard était plus profond, son sourire plus paisible. Elle n’était plus la même. Ce jour-là, quand elle traversa le village, le silence tomba. Les enfants cessèrent de jouer. Les femmes baissèrent les yeux et Niara, sa belle-mère, resta pétrifiée. Zala la regarda sans colère. Elle s’approcha doucement, posa sa main sur son épaule et dit d’une voix calme : “La haine brûle celui qui la porte.

 Moi, j’ai choisi de pardonner.” Niara fondit en larme, comprenant trop tard ce qu’elle avait perdu. Les années passèrent. Zala devint une femme respectée, aimée de tous. Elle soignait les malades, consolait les veuves et enseignait aux enfants que la vraie beauté ne se voit pas dans le miroir, mais dans la lumière qu’on porte au fond du cœur.

 Et chaque fois qu’une fille pleurait à cause d’une injustice, Zala lui disait en souriant : “Ne pleure pas ce qu’on t’a pris. Le ciel te rendra toujours ce que tu mérites, mais en mieux.” Tamamtam lent voix grave et apaisante. Ainsi se termine l’histoire de Zala, la fille que la jalousie voulait briser mais que la lumière a relevé.

 Parce qu’en Afrique, on dit on peut éteindre une lampe mais jamais le soleil. M.

 

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