ces hommes abusaient de Wellington encore et encore le dévorant par derrière tandis que Lady Ron prenait tout l’argent ne payant Wellington qu’avec de la nourriture parce qu’il était si beau ces hommes ivres et intoxiqués le prenaient pour une femme à 8 ans Wellington n’était pas comme les autres garçons de son quartier il avait un visage magnifique qui semblait presque sculpté un visage qui attirait tous les regard où qu’il aille et ce n’était pas seulement son apparence qui le distinguait c’est son amour pour le
maquillage souvent il se glissait dans la coiffeuse de sa mère expérimentant avec son rouge à lèvres et ses pinceaux ses petites mains appliquaient le rouge à lèvre rouge avec une précision qui surprendrait même un maquilleur professionnel le maquillage était son réconfort son échappatoire dans un monde qui exigeait qu’il soit quelque chose qu’il n’était pas ses parents Monsieur et Madame Damiki étaient bien trop occupés pour remarquer les besoins émotionnels de leur enfant unique monsieur Damiki était un père sévère et
autoritaire qui croyait que l’excellence académique était le seul chemin vers le succès il avait été élevé dans un environnement difficile discipliné sans pitié par son propre père ce qui pensait-il l’avait façonné en l’ingénieur prospère qu’il était devenu pour lui Wellington était destiné à suivre le même chemin et il ne portait attention qu’à ses performances académiques déterminé à ce que son fils surpasse tous ses camarades le poids des attentes de son père pesait lourdement sur Wellington chaque jour on lui
rappelait qu’il devait surpasser ses camarades de classe que son père considérait comme ses ennemis en tant que jeune enfant Wellington recevait de sévères corrections de son père qui le frappait au visage et sur le corps s’il osait échouer dans ses devoirs ou ses examens la pression constante et les coups transformèrent l’école en un champ de bataille où Wellington luttait non seulement pour réussir mais pour survivre dans un monde où l’échec signifiait la douleur Wellington se tourna vers la seule chose qui lui
apportait du réconfort le maquillage depuis ses premières années chaque fois que les coups de son père laissaient des marques sur son visage et son corps Wellington se précipitait vers la trousse de maquillage de sa mère utilisant le fond de teint pour cacher les Bleus appliquant du blush et de la couleur à ses joues et terminant avec son rouge à lèvres rouge préféré il aimait la sensation que cela lui procurait celle de se sentir beau puissant en contrôle de quelque chose au moins pour un moment sa mère qui l’avait
surpris une ou deux fois avec du maquillage n’y prêta guerre attention elle était trop occupée avec l’entreprise de plusieurs millions de neras que son mari avait monté pour elle une entreprise pour laquelle elle se sentait redevable elle ne contestait jamais monsieur Damiki n’intervenait jamais et espérait simplement que Wellington surmontrait ce qu’elle voyait comme une phase enfantine un jour alors que Madame Damiki discutait avec son ami dans le salon Wellington passa devant elle le visage soigneusement maquillé
avec le rouge à lèvres éclatant qu’il aimait tant son ami fut choqué ne vois-tu pas ton fils madame Damiki balaya la question d’un rire ce n’est qu’un jeu d’enfant il s’en lassera mais son ami l’avertit tu devrais arrêter ça avant que ça ne devienne autre chose madame Damiki poussa un soupir je n’ai pas vraiment mon mot à dire quand il s’agit de Wellington j’étais juste une fille pauvre qui a épousé la riche famille des Damiki je ne veux rien faire qui puisse attirer la colère de mon mari sur moi qui suis-je pour intervenir elle
tenta de changer de sujet orientant la conversation vers les affaires ainsi Wellington continua de vivre sa vie dans un coin tranquille de son propre monde son père Monsieur Damiki ne se préoccupait que des résultats scolaires de son fils et Wellington travaille sans lâche pour répondre aux attentes de son père même si la peur de l’échec le hantait le garçon n’était pas choyé malgré la richesse de la famille il accomplissait les tâche ménagère faisait les courses et essayait toujours d’en faire plus pour obtenir un semblant
d’approbation le seul endroit où il trouvait refuge c’était dans son maquillage dont son père ignorait tout mais Wellington était observé monsieur Musa un homme qui vivait dans la rue voisine le regardait depuis un moment hypnotisé par son beau visage il l’observait de sa fenêtre alors que Wellington passait lors de ses courses quotidiennes attendant son heure un weekend alors que les parents de Wellington étaient à la maison monsieur Damiki l’ envoya à faire une course en chemin Wellington perdit l’argent qu’on
lui avait donné la panique s’empara de lui et il se mit à pleurer monsieur Musa qui l’observait vit sa chance il appela Wellington lui offrit un verre de lait pour le calmer lait qu’il avait secrètement drogué monsieur Musa demanda à Wellington pourquoi il pleurait et Wellington lui raconta tout comment a-t-il si peur d’entrer à la maison car son père le punirait sans pitié pour avoir perdu l’argent monsieur Musa réconforta rapidement Wellington promettant de lui redonner l’argent perdu mais à une condition alors que la
drogue commençait à faire effet affaiblissant ses muscles le visage de Monsieur Ma changea révélant ses véritables intentions il profita de Wellington le courba et fit l’impensable ce qui se passa ce jour-là fut trop horrible pour pour qu’un enfant de 8 ans puisse le comprendre quand il eut terminé il tendit l’argent promis à Wellington lui disant de ne rien dire à personne de leur petit secret Wellington rentra chez lui pleurant dans le noir incapable de parler à ses parents qui n’étaient pas ses amis mais des figures
distantes imposant leurs règles et attentes il pleura toute la nuit et cela marqua la première agression que Wellington subit au cours de sa courte vie le traumatisme de ce jour s’ajouta à la douleur déjà grandissante dans son jeune cœur n’ayant personne vers qui se tourner personne qui comprendrait ou même s’en soucierait le comportement de Wellington devint erratique à l’école il devint agressif s’en prenant à ses camarades les voyant comme les ennemis dont son père lui avait parlé un jour dans un accès deorage il cassa la tête
d’un autre élève lors d’une bagarre il fut expulsé étiqueté comme un enfant à problème lorsque l’école rapporta l’incident à son père Monsieur Damiki entra dans une colère noire il réprimanda durement Wellington jurant de lui enseigner la discipline par la manière forte il décida d’envoyer Wellington chez sa tante strict au village une femme connue pour ses méthodes rigides Wellington devait y rester jusqu’à ce qu’il soit corrigé et ne serait pas autorisé à revenir tant qu’il n’aurait pas été discipliné comme
il se doit sa tante était cruelle et ses filles ne valaient guerre mieux elle se moquait de Wellington le forçait à accomplir toutes les tâches agricoles c’était lui qui vendait leur gar au marché sous le soleil brûlant chaque jour et tristement elles oubliaent souvent de laisser de la nourriture à Wellington avant qu’il ne rentre du marché le forçant à boire du Gar tous les jours et à dormir affamé dans la grange à manioc elles appelaient cela de la discipline un jour alors que Wellington rentrait du marché trois
hommes traînant autour d’un bâtiment en construction l’interpellèrent pourquoi ton visage est-il si beau se moquèrent-il ils ordonnèrent à Wellington de ne pas crier ni faire de bruit sinon il le tueraient dans ce bâtiment abandonné et personne ne saurait jamais lui était arrivé il s’avéra que ces hommes étaient homosexuels et ils décidèrent d’abuser de Wellington encore une fois tandis que l’un d’eux montait la garde à l’extérieur pour s’assurer que personne n’approchait les autres le violet tour à tour quand ils en eururent fini ils lui
donnèrent de l’argent comme si ça pouvait compenser ce qu’il lui avait fait des larmes coulèrent sur les joues de Wellington alors qu’il utilisait cet argent pour acheter de la nourriture M mant lentement et douloureusement en réalisant que c’était la première fois depuis des années qu’il mangeait aussi bien la douleur et la souffrance devinrent trop lourd pour Wellington un jour il prit l’argent qu’il avait économisé grâce au tonton et s’enfuit du village espérant retourner chez lui pour mettre fin à sa souffrance mais quand il
arriva son père fut furieux de le voir de retour tu n’es pas censé être ici cria monsieur Damiki surtout pas avant 2 ans il ordonna à son fils de retourner immédiatement au village et de ne pas montrer son visage à la maison tant qu’il n’aurait pas terminé son temps au village avec sa tante sa mère impuissante regardait en silence torturé par la douleur sachant qu’elle ne pouvait rien faire pour intervenir sa peur de la colère de son mari la maintenait muette mais le lendemain Wellington fit semblant de repartir pour
le village mais à la place il s’enfuit cette fois sans endroit où aller il commença à dormir sur le bord de la route survivant avec des restes c’est alors que Lady Ron une euse qui tenait un petit salon à proximité le trouva elle eut pitié du jeune garçon lui offrant nourriture et abri en échange Wellington travaillait dans son salon balayant faisant des courses et finalement faisant ce qu’il aimait le plus le maquillage mais chaque nuit dans la maison de Lady Ron Wellington remarqua que cette dernière sortait
toujours tard dans la nuit pendant qu’il dormait et revenait le lendemain avec beaucoup d’argent il se demandait où elle allait toujours bientôt Lady Ron commença à regarder Wellington avec insistance pensant à quel point il était beau et comment elle pourrait en tirer profit elle décida de le conditionner à la suivre dans le bordel où elle travaillait la nuit afin qu’il puisse travailler pour elle là-bas aussi elle collectait l’argent des riches à J gay et offrait Wellington à eux lui disant de bien se comporter avant de le
verrouiller dans une chambre avec les hommes ces hommes abusaient de Wellington encore et encore le dévorant par derrière tandis que Lady Ron prenait tout l’argent ne payant on qu’avec de la nourriture bientôt cela vint insupportable pour Wellington il se sentait utilisé piégé il n’avait ni bons vêtements à apporter ni rien d’autre sachant qu’il était exploité il trouva le courage de commencer à prendre personnellement l’argent auprès des hommes cela mit Lady Ron dans un état de rage elle se lamenta pleurant sur la
trahison de Wellington après tout ce qu’elle prétendait avoir fait pour lui elle le jeta alors hors de sa maison espérant ainsi le coup des hommes avec qui elle les avait mis en contact sans endroit où aller Wellington se retrouva dans un autre bordel il implora les femmes de là-bas de le laisser rester avec elle et elles acceptèrent à condition qu’il rapporte de l’argent pour le bordel cela marqua le début de la nouvelle vie de Wellington en tant que prostituée dans ce bordel entouré de personnes qui avaient aussi connu la
souffrance Wellington trouva un semblant de paix il rêvait de pouvoir économiser assez d’argent pour ouvrir un jour sa propre boutique de maquillage un endroit où il pourrait être lui même sans peur il s’accrochait à ce rêve avec tout l’espoir qui lui restait dans son jeune cœur croyant qu’un jour il pourrait laisser derrière lui les ombres de son passé et se lancer dans un avenir où son talent et non sa douleur le définirait les années passèrent et Wellington commença à assumer son identité au grand jour il grandit dans le bordel et fut
pleinement identifié comme une femme il accompagnaient les filles et se tenaient au bord de la route où les hommes ivres s’arrêtaient la nuit pour fréquenter les fille parce qu’il était si beau ses hommes ivres et intoxiqués le prenaient pour une femme lorsqu’ils arrivaient à l’hôtel Wellington leur donnait une condition qu’ils aillent droit au but et entrent en lui par derrière il ne leur permettait pas de le toucher ni de faire toute forme de préliminaire avec lui afin de les empêcher de découvrir qu’il n’était pas vraiment une femme et si
quelqu’un refusait il s’en allait leur rendant leur argent comme ces hommes étaient ivres ne se rendaient pas compte qu’ils étaient trompés et il n’était pas en compagnie d’une femme mais d’un homme et ainsi il se pliait toujours à ses exigences un jour alors que Wellington marchait avec ses compagnes dans la rue ils croisèrent une pauvre vieille femme qui mendiait au bord de la route alors que les autres ne lui prêtaient aucune attention Wellington ressentit une pointe de pitié pour la femme il retourna plus tard dans la journée pour
lui donner un peu d’argent et cela devint une habitude régulière avec le temps ils devinrent amis Wellington emmena la pauvre grand-mère sans abri dans un bâtiment encore en construction où elle pourrait trouver refuge il lui apportait de la nourriture et la nourrissait jour après jour la vieille femme était tellement reconnaissante qu’elle e l’impression d’avoir trouvé un fils en Wellington d’ordinaire les gens riaient de Wellington chaque fois qu’il passait à cause de son apparence mais pour la vieille femme il était un
sauveur bien que la plupart des gens pensaient le pire de lui et supposait qu’il ne valait rien Wellington avait un cœur pur malgré sa souffrance ch fois qu’il rendait visite à la grand-mère elle l’assayyait et lui lisait la Bible prêchant sur Dieu et l’importance d’avoir une relation constante avec lui peu importe la difficulté de la vie ces paroles touchèrent profondément Wellington lesbranlant car il n’avait jamais entendu parler de Dieu ni ressenti l’amour de Dieu dans sa vie tout ce que Wellington avait connu
c’était le rejet il luttait intérieurement tiraillé entre l’idée de donner sa vie à Dieu ou de continuer avec son seul moyen de subsistence bien tô ce fut l’heure pour la grand-mère de partir et de retourner dans son village où elle espérait attendre la mort elle avait souffert toute sa vie et se sentait prête à rejoindre Dieu elle serra Wellington dans ses bras avec force le suppliant de lui faire une seule faveur donner sa vie à Dieu quoi qu’il arrive Wellington pleura de manière incontrôlable sachant que son
seul véritable ami partait pour de bon il lui fit une promesse alors qu’il la regardait partir sachant qu’il ne la reverrait jamais avant de partir elle posa une bible sur sur le sol pour Wellington le défiant de la ramasser le jour où il déciderait de donner sa vie à Dieu elle lui dit que la Bible l’attendrait et qu’elle mourrait heureuse s’il le faisait les yeux pleins de larmes Wellington fixa la Bible sur le sol il se retrouva à un carrefour face à une décision découvrir Dieu ou continuer avec ses anciennes habitudes
ce jour-là alors qu’il rentrait chez lui Wellington ne pouvait s’empêcher de penser à cela toute la nuit son esprit était tourmenté finalement il décida de retourner chercher la Bible et de commencer une nouvelle vie mais juste avant qu’il puisse agir sur cette décision il reçut un appel d’une de ses sœurs de bordel qui vint plus tard chez lui pour lui parler d’un alagie millionnaire qu’elle avait rencontré elle lui expliqua qu’elle avait dit à l’alagie qu’elle viendrait avec lui et qu’il serait ses clients cette nuit-là
Wellington lui dit qu’il en avait fini avec cette vie et qu’il prévoyait de partir le lendemain cependant elle le persuada de se joindre à elle pour la nuit lui promettant une grosse somme d’argent et lui assurant qu’il n’aurait plus jamais à revenir à cette vie à contrecœur Wellington accepta de l’accompagner pour rencontrer le client espérant que ce serait la dernière fois les filles offrirent leurs service au riche alagie qui fut très satisfait cette nuit-là le matin venu Wellington rentra chez lui avec une grosse somme
d’argent qu’il avait reçu mais son ami ne rentra pas avec lui inconnu de Wellington elle avait volé de l’argent à l’alagie et s’était enfui avec ses millions lorsque l’alagie découvrit le vol il entra dans une rage folle il décida de tendre un piège appelant à la fois la fille et Wellington pour qu’il le rencontre au bord de la route le lendemain soir Wellington tenta de joindre son ami dont le numéro n’était plus joignable tandis que l’alagie se plaignait n’ayant pas d’autres choix Wellington se rendit innocemment au
rendez-vous avec l’alagie ce soir-là mais au lieu de l’alagie quatre hommes robuste s’avancèrent vers lui d’un pas déterminé leur chef commença immédiatement à accuser Wellington d’avoir à leur patron Wellington tenta d’expliquer qu’il n’avait aucune connaissance d’un quelconque vol mais le chef ordonna à ses hommes de le rouer de coup alors qu’il l’agressait le secret de Wellington fut dévoilé les hommes découvrirent qu’il portait un faux soutien gorge en mousse et réalisèrent qu’il était en réalité un homme la
colère du chef s’intensifia être homosexuel était quelque chose de méprisé et accueilli avec hostilité dans leur société le soleil se couchait projetant de longues ombres sur les rues poussiéreuses où ton gisait son corps meurtri et brisé étendu inerte sur le sol son visage autrefois magnifique était désormais tuméfié et mutilé au point d’être méconnaissable du sang se répandait sous lui tachant la terre d’un rouge vif contraste frappant avec le maquillage coloré qu’ aimait emportter ses yeux maintenant clos pour toujours
retenaient le plus léger soupçon de larme comme si dans ces derniers instants il avait entrevu la promesse qu’il ne pourrait jamais réaliser la veille Wellington était était empli d’espoir pour la première fois il avait envisagé la possibilité d’un chemin différent une vie où il pourrait enfin être libéré des chaînes qu’il avait retenu si longtemps il avait fixé la Bible que la vieille femme avait laissé derrière elle sa couverture usée et ses page jaunie mais elle semblait briller d’une promesse de renouveau il était
déchiré entre l’attrait de l’argent facile offert par sa vie dangereuse et la paix qu’il ressentait en présence de la grand-mère qui était devenue comme une famille pour lui la seule personne qu’il avait vraiment vu pour ce qu’il était mais le cœur de Wellington était lourd alors qu’il se retournait et se retournait dans son lit il pensa aux paroles de la grand-mère donne ta vie à Dieu quoi qu’il arrive sa voix raisonnait dans son esprit douce mais ferme une supplique enveloppé d’amour elle l’avait serré si fort avant de
partir ses bras frês transmettant une force qu’il n’avait jamais ressenti chez personne d’autres il avait promis qu’il essayerait et il avait l’intention de tenir cette promesse il avait résolu de ramasser cette bible de recommencer à zéro de choisir une autre vie mais le destin semble-t-il avait d’autres plans la visite inattendue de sa sœur de bordel avait été une épreuve de sa volonté elle l’avait attiré de nouveau dans ses anciennes habitudes juste pour une dernière nuit il avait besoin de cet argent avait-elle insisté pour enfin
échapper à la vie qu’il avait emprisonné si longtemps Wellington avait hésité déchiré entre la promesse qu’il avait faite et la très désespéré de ce qui semblait être sa seule option juste une dernière fois c’était-il dit et ensuite je serai libre mais lors de cette dernière escapade tout tourna mal il ne fut pas accueilli par la clémence mais par la brutalité les hommes s’étaient acharnés sur lui les points s’abattant comme la foudre leurs MUXs comme des couteaux ils avaient découvert son secret et leur colère s’était transformé
en une rage aveugle pour eux il n’était pas seulement un voleur mais une honte une abomination à leurs yeux son existence même était une offense à leur croyan et à leur valeurs leur fureur était alimenté par l’ignorance et la haine et ils le bâtirent sans retenu sans pitié Wellington avait crié essayant d’expliquer suppliant pour sa vie mais sa voix se perdit dans les coups qui continuaient de pleuvoir dans l’obscurité qui l’engloutissait tout entier il avait prévu de ramasser cette bible ce jour-là il avait prévu de
commencer une nouvelle vie mais la vie ne lui en avait pas donné la chance Wellington gisait là son corps froid sous la lueur tamisée des lampadaires le monde autour de lui continuait ignorant qu’il avait perdu un garçon au cœur pur un garçon qui avait reçu des cartes cruelles mais qui trouvait encore la force de s’occuper des autres même lorsque personne ne se souciait de lui ses rêves ses espoirs sa promesse à la seule amie qu’il ait jamais connu tout cela fut réduit au silence en cet instant à l’hôpital le père de
Wellington se trouvait sur son lit de malade son visage marqué par le regret sa santé déclinait depuis des mois sa force s’amenuisait à cause d’une mystérieuse maladie qu’aucun médecin ne parvenait à guérir alors qu’il était allongé là il pensait à son fils le garçon qu’il avait rejeté dans sa quête de perfection son cœur se serrait de nostalgie d’un désir qu’il n’avait jamais connu celui de prendre Wellington dans ses bras de lui dire qu’il était désolé qu’il aurait aimé être un meilleur père mais à présent il était
trop tard la mère de Wellington était assise à l’hôpital les mains tremblantes en pensant à ses erreurs des larmes lui montèrent aux yeux alors qu’elle murmurait nous le retrouverons il reviendra vers nous mais au fond de son cœur elle ressentait une terreur indicible elle avait été complice par son silence par son échec à protéger son enfant de l’homme qu’elle aimait et maintenant elle aussi devrait vivre avec la connaissance qu’ils avaient tous deux échoué envers la seule personne qu’ils étaient censés aimer
inconditionnellement ils ne savaient pas que leur fils était parti qu’il ne reviendrai jamais qu’il ne franchirait plus jamais le seuil de leur maison la Bible que la vieille femme avait laissé gisait dans le chantier de ruction intacte attendant un garçon qui ne reviendrait jamais la chercher un souffle de vent passa faisant bruisser ses pages comme si elle aussi pleurait la perte d’une âme à qui on navait jamais donné la chance de vivre au village la vieille femme était assise près de sa fenêtre regardant l’horizon
attendant des nouvelles de Wellington elle savait que son temps était compté mais elle s’accrochait à l’espoir qu’il trouverait son chemin vers Dieu Seigneur murmura-t-elle prends soin de mon garçon elle ne savait pas qu’il avait déjà quitté ce monde que sa vie avait été écourtée trop tôt que ses rêves avaient été écrasés sous le poids d’un monde qui ne l’avait jamais compris il existe un vieux dicton un enfant est comme une graine nourris-le avec amour et il s’épanouira néglige-le et il se fanera et mourra Wellington était cette graine
une belle âme qui avait le potentiel de s’épanouir d’apportter de la couleur à un monde qui en avait désespérément besoin mais à la place il avait été laissé à sa lumière éteinte par ceux qui auraient dû le protéger et l’aimer l’histoire de Wellington est un avertissement pour chaque parent chaque tuteur chaque personne ayant le pouvoir de façonner une jeune vie c’est un rappel que l’amour et la compréhension sont plus puissant que n’importe quelle forme de discipline ou de sévérité un rappel que les enfants ne sont pas censés être
moulés à notre image mais plutôt être aimé pour ce qu’ils sont et être libre de découvrir leur propre chemin Wellington n’est pas mort parce qu’il était faible ou parce qu’il était perdu il est mort parce que le monde l’a trahi parce que les personnes qui auraient dû l’aimer le plus qui auraient dû nourrir ses dons uniques lui ont tourné le dos lorsqu’il avait le plus besoin d’eux que son histoire soit une leçon un appel à l’action pour chaque parent et tuteur car un enfant est comme de l’argile il prend la forme des mains qui le
façonnent que ses mains soient bienveillantes qu’elles soient douce qu’elle soit remplie d’amour car au final ce n’est pas l’enfant qui échoue c’est le monde qui échoue à l’enfant et ainsi le nom de Wellington s’efface dans le silence de la nuit un nom qui aurait dû être retenu pour ses dons sa gentillesse sa beauté au lieu de cela il est retenu pour une vie abrégée une promesse non tenue le vent porte son histoire espérant qu’elle atteigne les oreilles de ceux qui ont encore une chance de faire une différence de sauver
un autre Wellington du même destin la Bible laissée dans la poussière attend qu’une autre main la ramasse une main qui pourrait trouver dans ses pages la paix que Wellington jamais pu atteindre merci beaucoup d’avoir regardé n’oubliez pas de laisser un j’aime de partager et de commenter cette histoire un grand merci à ma merveilleuse famille et jusqu’à ce que nous nous retrouvions restez bénis et nous nous verrons dans notre prochaine histoire
