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Une jeune infirmière a lavé un millionnaire dans le coma, mais quand il s’est soudainement réveillé,

Une jeune infirmière a lavé un millionnaire dans le coma mais quand il s’est soudainement réveillé quelque chose de miraculeux l’hôpital Saint-Antoine dans le 12e arrondissement de Paris était particulièrement calme ce matin d’automne les feuilles dorées dansaient dans l’air avant de se posé sur le sol mouillé par la fine pluie qui tombait sur la ville Amélie Dubois 27 ans ajusta son badge sur son uniformme blanc avant d’entrer dans l’hôpital la jeune infirmière abordait chaque journée comme une nouvelle même après 3 ans dans le service de

soins intensifs bonjour Amélie le patient de la chambre 207 a besoin d’une attention particulière aujourd’hui dit le docteur Laurent lui remettant un dossier les examens d’hier n’ont montré aucun changement mais nous devons maintenir un protocole rigoureux Amélie akessa connaissant déjà bien le cas Julien maau 42 ans entrepreneur dans le secteur technologique et philanthrope connu dans toute la France était dans le coma depuis près de 6 mois après un grave accident de voiture sur l’avenue des Champs-Élysées l’homme qui

apparaissait fréquemment dans les magazines d’affaires français dépendait maintenant de soins constant dans la chambre 207 la seule musique était le bip rythmique des moniteurs Amélie organisa son chariot avec le matériel pour l’hygiène quotidienne à côté du lit un bouquet de fleurs fraîche indiquait que la sœur de Julien avait rendu visite la veille malgré toute la richesse de l’homme d’affaires ses visites étaient r seulle sa jeune sœur Sophie V régulièrement bonjour monsieur Morau salua Amélie comme elle le faisait tous

les jours tout en préparant le matériel pour l’hygiène la journée est magnifique aujourd’hui même avec la pluie Paris a cette magie en automne n’est-ce pas elle parlait naturellement tout en effectuant les procédures croyant fermement que d’une certaine façon il pouvait l’entendre l’équipe médicale avait toujours souligné l’importance de la stimulation verbale même pour les patients dans le coma j’ai lu dans le journal que votre fond a inauguré une nouvelle aile pédiatrique à l’Hôpital Necker les enfants ont fait des dessins

pour vous remercier je suis sûr qu’ils aimeraient que vous les voyez tout en lavant soigneusement le visage de Julien Amélie remarqua quelque chose de différent une légère contraction au coin de ses yeux c’était subtil presque imperceptible monsieur Morau appela-t-elle observant attentivement rien ne se produisit c’était peut-être simplement son imagination pensa-t-elle en terminant les soins en rangeant le matériel elle décida de poser le Journal du jour sur la table de chevet ouvert à la page qui parlait de la fondation de

Julien une petite gentillesse un geste qu’elle répétait chaque fois qu’il y avait des nouvelles concernant ses projets demain j’apporterai les nouvelles photos de l’aile pédiatrique c’est promis dit-elle en finissant d’organiser la chambre reposez bien monsieur Morau à demain en fermant doucement la porte Amélie ne remarqua pas le léger mouvement des doigts de Julien sur le drap blanc 3 semaines c’était s écoulé depuis qu’Amélie avait remarqué ce petit mouvement octobre avait amené des vents plus froids et la

routine à l’hôpital restait inchangée ce matin-là cependant le téléphone d’Amélie sonna alors qu’elle était encore dans le métro en route pour le travail Amélie c’est urgent viens directement à la Chambre 207 la voix agitée de Claire sa collègue risonna de l’autre côté de la ligne il il s’est réveillé le cœur d’Amélie s’accéléra tandis qu’elle émergeait de la station Saint-Antoine marchant rapidement dans les rues parisiennes les gouttes de pluie se mêlaient aux larmes inattendues qui coulaient sur son visage six mois de

soins quotidiens de conversation unilatéral de petite gentillesse qu’elle croyait dans son cœur ne pas être veain en arrivant à l’hôpital elle fut accueillie par le bourdonnement des médecins et des infirmières dans le couloir le docteur Laurent sourit en la voyant il a demandé après vous Amélie pas par votre nom mais par l’infirmière qui parle toujours de je pense que vos conversations quotidiennes ont fait plus que ce que nous imaginions Amélie respira profondément avant d’entrer dans la chambre 207 à l’intérieur Julien Morau

était assis dans son lit visiblement affaibli mais avec les yeux des yeux bleus profonds qu’elle n’avait jamais vraiment vus ouvert fixé sur la porte quand il la vit un petit sourire apparut sur son visage pâle alors vous êtes réel dit Julien d’une voix rque par manque d’usage je pensais que vous vous étiez un ange dans mes rêves Amélie sourit essayant de maintenir son professionnalisme tout en vérifiant ses signes vitaux sur le moniteur monsieur Morau je suis Amélie Dubois votre infirmière a titré pendant ces mois

c’est un miracle de vous voir conscient Amélie répéta-t-il comme s’il testait le nom vous parliez de l’automne à Paris des enfants à l’hôpital Necker des livres que vous lisiez elle se figea surprise vous pouviez m’entendre pas tout mais des fragments votre voix a été mon cre mademoiselle quand tout n’était que ténèbres vos paroles étaient de petite lumière le docteur Laurent entra dans la chambre interrompant le moment monsieur Morau aura besoin d’une physiothérapie intensive et d’une série d’examens dans les prochains jours le

fait qu’il ait des souvenirs de la période de coma est extrêmement positif pour sa récupération cognitive tandis que le médecin expliquait les prochaines étape du traitement Julien ne détournait pas son regard d’Amélie il y avait quelque chose d’indéfinissable dans ce regard de la gratitude de la curiosité ou peut-être quelque chose de plus profond qu’aucun des deux ne pouvait nommer docteur Laurent dit Julien avec difficulté j’aimerais que mademoiselle Dubois continue à suivre mon cas si possible le médecin inquessa

certainement amélie est l’une de nos meilleurs infirmières lorsqu’ils se retrouvèrent à nouveau seul Julien tendit sa main tremblante vers Amélie merci de ne pas m’avoir abandonné aux ténèbres elle hésita brièvement avant de prendre cette main dont elle avait pris soin pendant tant de moi maintenant vivante et répondant à son toucher c’était mon travail monsieur Morau Julien s’il vous plaît après tout ce temps je pense que nous avons dépassé le stade de la formalité non Amélie sourit sentant que quelque chose de profond

commençait à changer dans cette chambre d’hôpital l’hiver arriva à Paris couvrant les célèbres jardins d’une fine couche de neige à l’hôpital Saint-Antoine un rythme différent s’était établi dans la chambre 207 après 2 mois de sa miraculeuse reprise de conscience Julien maau affrontait maintenant l’ardu parcours de la réhabilitation physique allez trois pas de plus encourageait Amélie tenant fermement le bras de Julien tandis qu’il s’efforçait de marcher dans le couloir de l’hôpital son corps autrefois fort et

athlétique avait perdu une masse musculaire significative durant les mois d’immobilité tout Paris doit être en train de patiner au Trocadero maintenant et moi j’arrive à peine à traverser ce couloir commenta Julien la frustration évidente dans sa voix alors qu’il s’appuyait contre le mur pour se reposer améli ajusta la veste sur ses épaules il y a 6 semaines vous arriviez à peine à rester assis tout seul chaque pas est une victoire Julien la relation entre eux avait évolué de façon particulière l’intimité forcée par l’état de Julien

avait créé un lien qu’aucun des deux ne savait exactement comment définir il n’était plus simplement patient et infirmière mais il n’était pas non plus simplement des amis mon kinésithérapeute dit que je progresse plus vite que prévu remarqua Julien alors qu’il retournait vers la chambre mais pas assez vite pour mes directeurs les visioconférences sont épuisantes même affaiblie Julien insistait pour garder un certain contrôle sur ses affaires une tablette et un ordinateur portable étaient devenus des présences constantes dans sa

chambre d’hôpital et il n’était pas rare qu’Amélie entre et le trouve en pleine réunion virtuelle essayant de dissimuler sa fatigue vous devez donner du temps à votre corps répondit-elle l’aidant à s’asseoir dans le fauteuil près de la fenêtre vos affaires ont survécu 6 mois sans vous Julien sourit ce sourire qui commençait timidement au coin des lèvres et qu’Amélie avait appris à apprécier ma sœur Sophie dit la même chose vous deux formeriez un duo formidable contre moi sophie est une femme sage commenta Amélie en ajustant la perfusion et en

parlant d’elle elle a laissé ceci pour vous plutôt Amélie lui remit une enveloppe que Sophie avait laissé lors de sa visite matinale Julien l’ouvrit révélant une vieille photo lui-même âgé d’environ 10 ans à côté d’un homme plus âgé tout deux souriant devant la tour effffel mon père expliqua Julien la voix soudainement plus basse il est décédé quand j’avais 15 ans Sophie a trouvé cette photo en organisant quelques documents dans mon appartement Amélie s’assit au bord du lit observant la photographie vous lui ressemblez il

était boulanger vous savez il se levait à 4h du matin tous les jours pour faire le meilleur pain au chocolat du 7e arrondissement Julien passa ses doigts sur la photo quand il est mort j’ai abandonné la faculté pour m’occuper de Sophie qui n’avait que 8 ans j’ai commencé par vendre des ordinateurs reconditionnés puis des logiciels et quand je m’en suis rendu compte et bien la vie a pris une tournure inattendue c’était la première fois que Julien partageait quelque chose d’aussi personnel et Amélie sentit le poids de

la confiance qu’il lui accordait c’est pour cela que votre fondation se concentre sur les enfants orphelins demanda-t-elle doucement Julien acquésa Sophie et moi avons eu la chance de nous avoir l’un l’autre beaucoup d’enfant n’ont pas cette chance il rangea la photo et regarda par la fenêtre où des flocons de neige commençaient à tomber parfois je pense que l’accident était un rappel un rappel de quoi que la vie est fragile que tout l’argent du monde n’a pas d’importance quand on est prisonnier des ténèbre ses yeux rencontrèrent les

siens et que parfois le salut vient des mains d’étrangers qui choisiss d’être gentil sans rien attendre en retour Amélie sentit son visage s’échauffer ce n’était que mon travail Julien non Amélie le travail aurait été de laver mon corps inconscient et de surveiller mes signes vitaux vous avez choisi de me parler de m’apporter des nouvelles du monde de me lire des livres ces petites gentillesses elles m’ont ramené le silence qui suivit ne fut rempli que par le douson de la neige contre la fenêtre et le lointain bourdonnement de

l’hôpital il y avait une question non formulé qui planait entre eux une question sur ce qui se passerait lorsque Julien n’aurait plus besoin de ses soins professionnels le docteur Laurent interrompit le moment entrant avec un blocne en main bonne nouvelle monsieur Morau si les examens de cette semaine continuent d’être positif nous pourrons envisager votre sortie de l’hôpital pour après le Nouvel An les yeux de Julien et d’Amélie se rencontrèrent la nouvelle planant entre eux comme les flocons de neige dehors une promesse de changement

de nouveaux débuts mais aussi la fin d’un chapitre que tous deux secrètement n’étaient pas certain de vouloir clore jeanvier apporta des vents mordants et des ciels gris à Paris mais pour Julien Moreau il représentait la liberté après presque 8 mois à l’hôpital Saint-Antoine il reçut enfin son autorisation de sortie le jour de son départ l’équipe médicale se réunit pour dire au revoir au patients qui d’une certaine façon était devenu une présence constante dans leur routine ne pensez pas que vous êtes débarrassé de moi monsieur Morau

plaisanta le docteur Laurent lui remettant un dossier de recommandation consultation hebdomadaire et kinésithérapie trois fois par semaine sans exception Sophie la sœur de Julien attendait dans le couloir avec le chauffeur plus jeune que son frère de plusieurs années elle avait le même regard déterminé qui caractérisait les moraux l’appartement est prêt informa-t-elle aidant à organiser les quelques affaires que Julien avait accumulé durant son hospitalisation j’ai engagé une infirmière à domicile comme recommandée elle commence demain Julien

a quia mais ses yeux cherchaient Amélie qui étrangement n’était pas présente à ce moment si significatif la veille au soir ils avaient longuement parlé de sa récupération fait des plans pour sa réhabilitation continue mais elle semblait évasive quand il s’agissait d’aborder l’avenir vous cherchez quelqu’un demanda Sophie perspicace comme toujours mademoiselle Dubois devrait être de service aujourd’hui répondit Julien essayant de paraître des invvoltes le docteur Laurent qui organisait quelques documents à proximité commenta Amélie a demandé un

transfert au service pédiatrique ce matin une surprise pour nous tous elle a toujours été dévoué aux soins intensif la nouvelle frappa Julien comme un coup physique pourquoi Amélie n’avait-elle pas mentionné ce changement pourquoi avait-elle choisi de ne pas lui dire au revoir tandis que Sophie finalisait les procédures de sortie Julien demanda au chauffeur de l’emmener au service pédiatrique s’appuyant sur sa canne un rappel persistant de l’accident il parcourut les couloirs colorés de l’étage des enfants c’est alors qu’il

l’aperçut à travers la fenêtre d’une salle d’activité assise par terre avec trois enfants lisant un livre avec animation son visage rayonnait d’une façon qu’il avait rarement vu dans l’environnement plus sérieux des soins intensif elle appartenait à cet endroit entouré d’espoir et de possibilités non de moniteur et de médicaments Julien hésita décidant de ne pas l’interrompre au lieu de cela il laissa une enveloppe au poste infirmier pour qu’elle lu lui soit remise et retourna là où Sophie l’attendait quelques heures plus tard

installé dans son luxueux appartement avec vue sur la scène Julien observait Paris du haut de son balcon la ville était la même mais lui avait profondément changé votre smartphone restauré avec tous vos contacts dit Sophie lui remettant l’appareil et la Fondation a organisé une petite réception pour la semaine prochaine rien d’extravagant Julien acquiessa distrement absorbant encore la sensation d’être à nouveau chez lui après tant de temps le luxe qui auparavant lui semblait naturel ça lui paraissait maintenant excessif presque

inconfortable ce soir-là alors que Sophie s’était déjà retirée Julien reçut un message sur son téléphone d’un numéro inconnu merci pour la carte et pour le généreux don au service pédiatrique les enfants auront de nouveaux livres pendant de nombreuses années désolé de ne pas vous avoir dit au revoir convenablement certaines transitions sont plus difficiles que d’autres prenez soin de vous Julien Amélie il relut le message plusieurs fois ressentant un mélange de soulagement et de déception c’était un adieu poli et distant c’était

peut-être mieux ainsi pensa-t-il en observant les lumières de Paris par la fenêtre leur monde était trop différent dans les semaines qui suivirent Julien se plongea dans sa réhabilitation et reprit progressivement certaines responsabilités dans ses entreprises son expérience de proximité avec la mort avait changé ses priorités et il consacrait mtenant plus de temps à sa fondation par un froid matin de février lors d’une visite à l’hôpital Necker pour inaugurer une salle de kinésithérapie pédiatrique financé par

sa fondation Julien la revit Amélie accompagnait un groupe d’enfants à la cérémonie leur regards se croisèrent par-dessus la foule et pendant un bref instant tout autour sembla s’éteindre après les discours et la cérémonie formelle Julien parvint à s’approcher d’elle transfert en pédiatrie et changement d’hôpital comment essayant de maintenir un ton léger vous avez certainement cherché un grand changement Amélie sourit ce sourire sincère qu’il avait gardé en mémoire l’hôpital Necker avait besoin d’infirmière avec de l’expérience dans

les cas critiques cela semblait être le bon moment pour un changement vous avez l’air bien Amélie vous aussi Julien Paris commente votre remarquable rétablissement la conversation était polie presque entre étranger mais chargé d’une tension non résolue pourquoi ne pas avoir dit voir demanda finalement Julien la voix plus basse Amélie hésita ses yeux momentanément vulnérables parce que ce n’aurait pas étit simplement un adieu professionnel et je ne savais pas comment gérer cela l’honnêteté de la réponse les surprit tous les deux avant

qu’il ne puisse continuer l’un des enfants appela Amélie brisant le moment je dois y aller dit-elle s’éloignant déjà je suis heureuse que vous alliez bien Julien il l’observa partir sentant que quelque chose d’important resta inachevé entre eux ce soir-là dans son appartement Julien prit une décision qui changerait le cours de sa vie et celle d’Amélie pour toujours le printemps arriva à Paris transformant la ville avec des explosions de couleur dans les jardins et une nouvelle chaleur dans l’air à l’hôpital Necker Amélie Dubois

organisait une activité spéciale avec ses petits patients quand elle reçut un appel urgent de l’accueil un enfant en état critique est arrivé par hélicoptère informa sa collègue nous avons Besin soin de VOUS aux urgences maintenant courant dans les couloirs Amélie entra dans la salle de traumatologie préparée pour une journée de plus de défis mais au lieu d’une urgence elle trouva la salle vide excepté Julien Morau élégamment vêtu s’appuyant sur sa canne beaucoup moins que la dernière fois qu’elle l’avait vu Julien qu’est-ce que

cela signifie demanda-t-elle confuse et légèrement irritée par cette fausse urgence c’était la seule façon d’obtenir votre attention sans rendez-vous préalable répondit-il avec un demi-sourire vous avez une capacité impressionnante à éviter mes tentatives de contact ces deux derniers mois c’était vrai depuis leur rencontre à l’inauguration Amélie avait poliment décliné chaque invitation à prendre un café chaque tentative de conversation que Julien avait initié non par manque de volonté mais par peur de ce que cela

pourrait signifier Julien je travaille dit-elle croisant les bras et utiliser le système d’urgence comme ça est impardonnable je sais l’interrompit-il s’approchant mais avant de me mettre à la porte j’aimerais que vous veniez avec moi juste pour une heure je promets que ça en vaudra la peine contre son meilleur jugement Amélie accepta 15 minutes plus tard ils étaient dans la voiture de Julien traversant Paris en direction du 20e arrondissement une zone moins glamour de la ville où allons-nous demanda-t-elle curieuse de la

destination dans un quartier si éloigné des cercles que Julien fréquentait habituellement un petit projet que commencé après ma sortie de l’hôpital répondit-il énigmatiquement la voiture s’arrêta devant un ancien bâtiment qui subissait visiblement des rénovations un petit groupe de personnes attendaient à l’entrée incluant Sophie la sœur de Julien et quelques visages qu’Amélie reconnu de l’hôpital Saint-Antoine bienvenue au centre de récupération et espoir annonça Julien enla guidant à l’intérieur l’intérieur révéla un espace

accueillant avec plusieurs salles équipées pour la kinésithérapie l’ gthérapie et le soutien psychologique sur l’un des murs une plaque discrète indiquait en hommage à ceux qui apportent la lumière dans l’obscurité qu’est-ce que c’est demanda Amélie émue en réalisant l’ampleur du projet un centre de réhabilitation pour les personnes qui ont survécu à des traumatismes graves accidents AVC situations qui laissent des c’estquel non seulement physique mais émotionnel expliqua Julien tandis qu’il marchait dans les couloirs gratuit pour ceux qui

ne peuvent pas payer chaque salle qu’il visitait Julien expliquait avec passion comment le centre fonctionnerait comment il créerait un espace de transition entre l’hôpital et le retour à la vie normale un espace qui lui avait manqué durant sa propre récupération c’est extraordinaire commenta Amélie sincèrement impressionné c’est inspiré de vous se révéla Julien s’arrêtant dans un petit jardin intérieur de la façon dont vos petites gentillesses votre humanité ont fait toute la différence dans ma récupération Amélie sentit des

larmes se former Julien j’ai simplement fait mon travail non Amélie vous avez fait bien plus et pendant des mois j’ai essayé de comprendre pourquoi vous vous êtes éloigné si complètement après ma sortie elle détourna le regard vulnérable je suis tombé amoureuse de mon patient Julien c’est contraire à l’éthique c’est compliqué c’est c’est exactement ce qui m’est arrivé completa-t-il prenant ses mains dans les siennes je suis tombé amoureux de la voix qui m’a guidé vers la vie et quand j’ai enfin pu vous voir quand j’ai pu

vraiment vous connaître ce sentiment n’a fait que grandir le silence entre eux était chargé de possibilités nos mondes sont très différents argumenta faiblement Amélie il l’était corrigea Julien l’homme qui s’est réveillé de ce coma n’est pas le même que celui qui a eu l’accident mes priorités ont changé ce centre n’est que le début il expliqua alors qu’il avait restructuré ses affaires délégué une grande partie de ses responsabilités d’entreprise pour se consacrer à la fondation et à des projets comme ce centre et j’aimerais

que vous fassiez partie de cela Amélie pas seulement du centre mais de ma vie Julien hésita avant de continuer pas comme mon infirmière mais comme ma partenaire dans tous les sens du terme la proposition flottait entre eux non seulement une invitation romantique mais une vision partagée d’avenir de but nous devons commencer doucement répondit finalement Amélie un sourire sincère illuminant son visageut êre par un café comme des personnes normales Julien sourit ce sourire qui commençait au coin des lèvres et qu’Amélie appréciait tant

je connais un petit café à Montmartre avec la plus belle vue de Paris alors qu’il quittait le centre le printemps parisien enveloppait la ville dans sa lumière dorée le chemin devant eux ne serait pas simple ils auraient des différences à surmonter des histoires à construire des défis à affronter mais tous deux avaient appris de manière différente que la vie est faite de petits miracle quotidien de connexions inattendues et que parfois même dans la ville la plus romantique du monde l’amour surgit non pas dans de grands

gestes mais dans la constance des petites gentillesses dans le taxi qui les emmenait à Montmartre leurs mains se rencontrèrent discrètement un nouveau chapitre commençait pas seulement pour Amélie et Julien mais pour tous ceux qui seraient touchés par le Centre NZ de l’obscurité d’un coma et de la lumière d’un soin sincère tandis que Paris s’étendait sous eux avec avec ses lumières commençant à briller dans le crépuscule Amélie pensa à la façon dont la vie avait tissé leur chemin de manière si inattendue d’une routine

quotidienne de soins hospitaliers à une histoire de transformation et d’espoir à quoi pensez-vous demanda doucement Julien à la façon dont parfois nous devons nous perdre pour trouver notre vrai chemin répondit-elle tandis que la Tour Effel commençait à briller au loin ponctuant l’horizon parisien de sa lumière radieuse un symbole parfait pour le nouveau départ qu’il partageait désormais

 

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